Humeur dépressive (approche clinique)

De Wikimedica
Révision datée du 21 avril 2020 à 22:30 par Amina Ouali (discussion | contributions) (correction)

L’humeur dépressive est un symptôme qui demande un questionnaire, un examen mental et une investigation complète afin de pouvoir poser un diagnostic.

Humeur dépressive
Approche clinique
Caractéristiques

Page non révisée
__NOVEDELETE__
Objectif du CMC
Nom de l'objectif du CMC (Numéro)
La section facultative Introduction ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur le sujet de la page (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion homme:femme, régions où la prévalence est la plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque.
  • Le pronostic est présenté dans cette section, le cas échéant (contrairement aux pages de maladie).
Exemple:
 
Les saignements digestifs bas représentent 20% à 30% de tous les patients présentant des saignements GI majeurs. L'HDB est moins fréquente que les hémorragies digestives hautes (HDH) avec une prévalence de 20 à 27 cas par 100 000 vs 50 à 150 cas par 100 000.

Aux États-Unis, la prévalence sur une année du trouble dépressif caractérisé est de 7 %, avec un taux trois fois plus élevé chez les 18 à 29 ans comparativement aux plus de 60 ans. Toujours aux États-Unis, les femmes auraient une prévalence 1,5 à 3 fois plus élevée que les hommes. Au Canada, il y a une prévalence de 12% et un risque plus élevé chex les 15-25 ans, les femmes étant deux fois plus à risque que les hommes.

Étiologies

La section obligatoire Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Cette section décrit les étiologies de l'approche clinique, c'est-à-dire ce qui cause la situation couverte dans la page d'approche clinique (ex. polype intestinal pour l'hémorragie digestive basse).
  • Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Ne pas ajouter de section Diagnostic différentiel à la page de type Approche clinique. La présente section couvre déjà les maladies qui provoquent l'approche clinique dont il est question sur cette page. Par définition, une page d'approche clinique ne contient pas de diagnostic différentiel, mais bien des étiologies.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau, selon ce qui vous apparait le plus efficace. S'il y a une ou deux étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les format plus simple (l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce).
  • Si la liste à puce est utilisée, elle est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les étiologies de l'hémorragie digestive basse sont :
  • la diverticulose [Étiologie]
  • la colite ischémique [Étiologie]
  • le cancer colorectal [Étiologie]
  • le polype intestinal [Étiologie].

Le diagnostic différentiel comprend:

  • Le trouble dépressif caractérisé
  • Le trouble bipolaire (type I, type II)
  • Le trouble dépressif persistant (dysthymie)
  • Le trouble cyclothymique
  • Le trouble de l’humeur induit par une substance toxique
  • Le trouble de l'humeur secondaire à une affection médicale générale
  • Le trouble de l'adaptation
  • Le trouble dysphorique prémenstruel
  • Le deuil.

Histoire

  • Raison de consultation et contexte de consultation : volontaire ou pas, accompagné ou non
  • Contexte social : famille, habitation, éducation, emploi, sources de revenu, dettes, réseau social, autonomie (personne âgée)
  • ATCD personnels med et psy : Dépression, tentative de suicide, automutilation, psychose, manie/hypomanie, TUS ROH/drogues, TCC, hypothyroïdie...
  • ATCD familiaux psy: Dépression, tentative de suicide, psychose, manie/hypomanie, TUS ROH/drogues...
  • ATCD judiciaires
  • Médicaments : essais de Rx antérieurs et réactions néfastes, changement récents, observance, abus, produits de santé naturelle
  • Habitus: usage ROH/Drogues, tabac, boissons énergisantes, café
  • Symptômes :
    • dépressifs : voir les critères de l’épisode dépressif caractérisé
    • manie/hypomanie : voir les critères de l’épisode de manie/hypomanie
    • anxieux : inquiétudes, ruminations, anticipations, scénarios catastrophe, obsessions, compulsions…
    • psychotiques : voyez-vous/entendez-vous des choses qui sortent de l’ordinaire/des choses que les autres personnes ne voient/entendent pas ? Avez-vous des idées particulières qui vous trottent dans la tête ces temps-ci ? Vos proches ont-ils mal réagis ou ont-ils exprimés de l’inquiétude suite à des propos que vous avez tenus?
  • Stresseurs : décès, perte d’emploi, problèmes financier, conflit relationnel, rupture amoureuse, isolement social, transition de rôle (ex : retraite, enfants qui partent du domicile familial…)
  • Idées suicidaires : Plan ? (comment? où? quand?), intention ?
  • Histoire longitudinale : comment s’est passé l’enfance/l’adolescence ? Relations familiales, relation avec les pairs, relations avec les figures d’autorité, gestion de la transition des grandes étapes (entrée à l’école primaire, entrée à l’école secondaire…), conflits, comportements risqués, premier emploi…
  • Histoire collatérale si possible

Examen clinique

Examen physique:

Signes vitaux, poids, taille, tour de taille, glande thyroïde, peau pour stigmates d’automutilation ou d’usage de drogues intraveineuses et évaluation neurologique sommaire (démarche, signes neuro focaux et signes extrapyramidaux…).

Examen mental :

  • Apparence générale : Âge, morphologie, tenue vestimentaire, Hygiène corporelle, odeur, signes physiques et signes physiques distinctifs.
  • Attitude : posture, contact visuel, caractéristiques de l’attitude perçue par l’interlocuteur du patient. Collaboration
  • Activité psychomotrice : niveau d’activité, démarche, mouvements surajoutés, tremblements, tonus musculaire, dyskinésie, dystonies.
  • Langage : prosodie (ton), expression, quantité, fluidité, syntaxe et structure.
  • Humeur : Tristesse, anxiété, Hostilité, élévation de l’humeur, honte et culpabilité, euthymie.
  • Affect : congruence, réactivité et variabilité.
  • Pensée : Cours, forme, intensité de la conviction du contenu, contenu anxieux, contenu dépressif, contenu manique, contenu psychotique, caractéristique du délire, contenu orientant vers la possibilité d’un trouble de la personnalité, potentiel agressif.
  • Perceptions : Hallucinations, Attitudes d’écoute, autres anomalies.
  • Fonctions cognitives : sensorium, attention, mémoire, intelligence et abstraction.
  • Jugement
  • Autocritique
  • Introspection
  • Fiabilité

Examen mental d’un épisode dépressif :

  • Hygiène peut être négligée, amaigrissement ou embonpoint
  • Ralentissement psychomoteur
  • Peut-être peu loquace
  • Affect congruent à l’humeur, plus limités et difficilement mobilisable surtout lorsque l’épisode dépressif est sévère.
  • ↓ de la concentration et de l’attention
  • Diminution de la vitesse de traitement de l’information
  • Contenu de la pensée dépressif : baisse de l’estime de soi, désespoir, autodévalorisation, sentiment d’impuissance, de pauvreté, de ruine, d'indignité, de culpabilité, incapacité à se projeter dans l’avenir et pessimisme
  • Idéations suicidaires, plans détaillés
  • Perception altérée (vision négative de soi et du monde)

Drapeaux rouges

La section obligatoire Drapeaux rouges ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Les drapeaux rouges sont des signes, des symptômes, des facteurs de risque ou des signes paracliniques qui, lorsqu'ils sont présents, peuvent orienter vers un diagnostic grave ou demandant une prise en charge immédiate.
  • Chaque drapeau rouge devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Drapeau rouge.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Drapeau rouge
Commentaires:
 
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Cette section doit rester simple et courte.
Exemple:
 
Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
  • une altération de l'état de conscience [Drapeau rouge] indique une possible méningite, encéphalite, un AVC hémorragie ou une HIP
  • une faiblesse [Drapeau rouge] évoque un AVC
  • de la diplopie [Drapeau rouge] évoque également un AVC du tronc ou une lésion occupant de l'espace
  • une immunosuppression [Drapeau rouge] pourrait évoquer une méningite, encéphalite ou un abcès cérébral ou spinal
  • etc.
Drapeaux rouges Causes sérieuses possibles Causes bénignes confondantes possibles
drapeau rouge 1
  • Cause 1
  • Cause 2
  • ...
  • Cause 1
  • Cause 2
  • ...
drapeau rouge 2
  • Cause 1
  • Cause 2
  • ...
  • Cause 1
  • Cause 2
  • ...
... ...

Investigation

La section facultative Investigation ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
Test Quand l'utilisation de ce test est-elle justifiée Résultats évocateurs Penser à ... Diminue les chances de ...
Investigation 1 ... ... ... ...
Investigation 2 ... ... ... ...
... ... ... ... ...

Diagnostic

Trouble dépressif caractérisé :

A. ≥ 5 symptômes pendant ≥ 2 semaines et représentent un changement par rapport au fonctionnement antérieur (incluant soit (1) une humeur dépressive, soit (2) une perte d’intérêt ou de plaisir) :

  1. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, presque tous les jours. (N.B. : irritabilité chez l’enfant et l’adolescent.)
  2. Diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes ou presque toutes les activités quasiment toute la journée, presque tous les jours.
  3. Perte ou gain de poids significatif en l’absence de régime ou diminution ou augmentation de l’appétit presque tous les jours. (N.B. : Chez l’enfant, prendre en compte l’absence de prise de poids attendue.)
  4. Insomnie ou hypersomnie presque tous les jours.
  5. Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours (constaté par les autres).
  6. Fatigue ou perte d’énergie presque tous les jours.
  7. Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée presque tous les jours.
  8. Diminution de l’aptitude à penser ou à se concentrer ou indécision, presque tous les jours.
  9. Pensées de mort récurrentes, idées suicidaires récurrentes sans plan précis, tentative de suicide ou plan précis pour se suicider.

B. Les symptômes induisent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

C. L’épisode n’est pas imputable aux effets physiologiques d’une substance ou à une autre affection médicale.

D. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble psychotique.

E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque ou hypomaniaque.

Trouble dépressif persistant

A. Humeur dépressive présente quasiment toute la journée, plus d’un jour sur deux, pendant ≥ 2 ans. N.B.: Chez les enfants et les adolescents, l’humeur peut être irritable et la durée doit être d’au moins 1 an.

B. Quand le sujet est déprimé, il présente au moins deux des symptômes suivants :

  1. Perte d’appétit ou hyperphagie.
  2. Insomnie ou hypersomnie.
  3. Baisse d’énergie ou fatigue.
  4. Faible estime de soi.
  5. Difficultés de concentration ou difficultés à prendre des décisions.
  6. Sentiments de perte d’espoir.

C. Au cours de la période de 2 ans (1 an pour les enfants et adolescents) de perturbation thymique, la personne n’a jamais eu de période de plus de 2 mois consécutifs sans symptômes (A et B).

D. Les critères de Trouble dépressif caractérisé peuvent être présents d’une manière continue pendant 2 ans.

E. Il n’y a jamais eu d’épisode maniaque, hypomaniaque ou de trouble cyclothymique.

F. Le trouble n’est pas mieux expliqué par un trouble psychotique.

G. Les symptômes ne sont pas imputables à une substance toxique ou à une maladie générale.

H. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.

Trouble bipolaire de Type I ou II

Voir Trouble bipolaire de Type I ou de Type II

Trouble cyclothymique

Voir Trouble cyclothymique

Trouble d’adaptation

A. Symptômes émotionnels ou comportementaux survenant en réponse à un stresseur survenant dans les 3 mois suite à l’exposition.

B. Les symptômes induisent une détresse marquée excessive par rapport à ce qui serait attendu dans cette situation et/ou un dysfonctionnement social, professionnel ou dans un autre domaine significatif.

C. Les symptômes ne sont pas dus à un autre trouble mental.

D. Les symptômes ne sont pas dus à un deuil normal.  

E. Les symptômes ne persistent pas au-delà de 6 mois après la fin de l'exposition du stresseur.

6. Deuil

Il s’agit d’un cheminement normal suite au décès d’un proche. Des sentiments de vide et de perte prédominent. La dysphorie diminue au fil de temps et a tendance à se manifester par « vague » provoquées par des pensées ou des souvenirs en lien avec le défunt. Le plaisir et les sentiments positifs sont souvent préservés, malgré l’humeur dépressive. L’estime de soi est préservée, l’autodépréciation peut être présente, mais typiquement liée à des sentiments manquement vis-à-vis du défunt. Des idées de mort peuvent être présentes, habituellement liées à la possibilité d’aller rejoindre le proche décédé.

Trouble de l’humeur induit par une substance toxique

A. Humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités

B. Les antécédents, l’examen physique ou les résultats des examens complémentaires montrent:

  1. Symptômes du critère A du TDC se sont développés pendant ou peu après l’intoxication par une substance ou le sevrage de celle-ci ou après la prise d’un médicament.
  2. La substance ou le médicament impliqué est capable de produire les symptômes en A

C. Il n’y a pas d’autre trouble qui expliquerait la présence des symptômes   

D. Pas de délirium qui expliquerait la présence des symptômes.

E. Les symptômes entraînent une détresse significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d’autres domaines importants.   

Trouble de l'humeur secondaire à une affection médicale générale

A. Humeur dépressive ou une diminution marquée de l’intérêt ou du plaisir pour toutes, ou presque toutes les activités

B. Les antécédents, l’examen physique ou les examens complémentaires montrent clairement que la perturbation est la conséquence physiopathologique directe d’une autre affection médicale

C. Il n’y a pas de trouble mental qui expliquerait la présence des symptômes.

D. Il n’y a pas de délirium qui expliquerait la présence des symptômes

E. Les symptômes entraînent une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement.

Trouble dysphorique prémenstruel

A. Au cours de la majorité des cycles menstruels, ≥ 5 symptômes suivants présents dans la semaine qui précède les règles, commencent à s’améliorer dans les premiers jours qui suivent le début des règles et devenir minimaux ou absents dans la semaine après les règles.

B. ≥ 1 symptôme parmi ceux-ci:

  1. Labilité émotionnelle marquée.
  2. Irritabilité marquée ou colère ou augmentation des conflits interpersonnels.
  3. Humeur dépressive marquée, sentiments de désespoir ou autodépréciation.
  4. Anxiété marquée, tension et/ou sentiments de nervosité.

C. ≥ 1 symptôme parmi ceux-ci, pour atteindre un total ≥ 5 symptômes pour B et C :

  1. Diminution de l’intérêt pour les activités habituelles.
  2. Difficulté subjective à se concentrer.
  3. Léthargie, fatigabilité excessive ou perte d’énergie marquée.
  4. Modifications marquées de l’appétit, hyperphagie, envie impérieuse de certains aliments.
  5. Hypersomnie ou insomnie.
  6. Sentiment d’être débordé ou de perdre le contrôle.
  7. Symptômes physiques comme tension ou gonflement des seins, douleurs articulaires ou musculaires, impression d’« enfler », prise de poids.

D. Les symptômes sont associés à une détresse cliniquement significative ou interfèrent avec le travail, l’école, les activités sociales habituelles ou les relations avec les autres.

E. La perturbation n’est pas due à l’exacerbation des symptômes d’un autre trouble mental.

F. Le critère A doit être confirmé par une évaluation prospective quotidienne pendant au moins deux cycles symptomatiques.

G. Les symptômes ne sont pas dus aux effets d’une substance ou à une maladie générale.

Prise en charge

La section facultative Prise en charge ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de l'approche clinique
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Y a-t-il des examens paracliniques à répéter ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
Exemple:
 

Complications

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 

Particularités

La section facultative Particularités ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Gériatrie

La section facultative Gériatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle gériatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en gériatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée).
Exemple:
 

Pédiatrie

La section facultative Pédiatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 


Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

La section obligatoire Références ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.