« Dermatite atopique » : différence entre les versions

De Wikimedica
(→‎Questionnaire : 20 minutes - développement de l'examen clinique avec les signes potentiels associés et l'ajout des particularités ethniques)
Ligne 38 : Ligne 38 :


* Les caractéristiques essentielles au diagnostic:
* Les caractéristiques essentielles au diagnostic:
** Prurit  
** Prurit
** Distribution typique pour l'âge  
** Distribution typique pour l'âge (voir l'examen clinique ci-bas)
*** Nourrissons et jeunes enfants: visage, cou et surface des extenseurs
*** Atteinte des régions flexurales chez les plus vieux
** Chronique ou récidivant  
** Chronique ou récidivant  
* Les caractéristiques souvent présentes et qui supportent le diagnostique:
* Les caractéristiques souvent présentes et qui supportent le diagnostique:
** Xérose
** Xérose
** Apparition de la condition en jeune âge  
** Apparition de la condition en jeune âge
** Histoire personnelle ou familiale d'atopie  
** Histoire personnelle ou familiale d'atopie
* Les déclencheurs peuvent inclure:  
* Les déclencheurs peuvent inclure:  
** Climat: changement de saison, faible taux d'humidité  
** Climat: changement de saison, faible taux d'humidité
** Irritant: tissus rêches/laine, sudation, détergents, etc.
** Irritant: tissus rêches/laine, sudation, détergents, etc.
** Infections: fréquemment Staphylococcus aureus
** Infections: fréquemment Staphylococcus aureus
** Allergies environnementales: allergènes de contact  
** Allergies environnementales: allergènes de contact
** Allergies alimentaires: déclencheur chez une minorité de patients seulement (considérer en cas de dermatite atopique modérée à sévère, réfractaire)
** Allergies alimentaires: déclencheur chez une minorité de patients seulement (considérer en cas de dermatite atopique modérée à sévère, réfractaire)


Ligne 58 : Ligne 56 :


*des {{Signe clinique | nom = papules}} ou plaques {{Signe clinique | nom = érythème cutané|affichage=érythémateuses}} et {{Signe clinique | nom = squames|affichage=squameuses}}, souvent mal délimitées et présentant des {{Signe clinique | nom = excoriations}}
*des {{Signe clinique | nom = papules}} ou plaques {{Signe clinique | nom = érythème cutané|affichage=érythémateuses}} et {{Signe clinique | nom = squames|affichage=squameuses}}, souvent mal délimitées et présentant des {{Signe clinique | nom = excoriations}}
*une {{Signe clinique|nom=lichénification}} des lésions cutanée en cas de grattage régulier<ref group="note">Épaississement de la peau avec exagération des marques cutanées typiques dues au grattage ou au frottement.</ref>
*un suintement ou des croûtes, parfois même des vésicules - plus fréquent dans la dermatite atopique infantile
*une {{Signe clinique|nom=lichénification}} des lésions cutanée en cas de grattage régulier<ref group="note">Épaississement de la peau avec exagération des marques cutanées typiques dues au grattage ou au frottement.</ref> - survient surtout chez les adolescents et les adultes
*une distribution de l'éruption cutanée variant en fonction de l'âge:
*une distribution de l'éruption cutanée variant en fonction de l'âge:
**nourrissons: petites excoriations au visage, en particulier sur les joues
**Nourrissons et jeunes enfants: visage, cou et surface des extenseurs
**enfant: éruption plus localisée aux surfaces des extenseurs tel que: les poignets, les coudes, les chevilles et les genoux
** Atteinte des régions flexurales chez les plus vieux (creux poplités, plis antécubitaux)
**enfants d'âge scolaire: éruption aux surfaces de flexion, généralement la fosse cubitale et le creux  poplité
*chez les patients d'origine africaine ou asiatique: accentuation folliculaire et petites papules planes (eczéma papuleux) sont plus fréquents
*signes  
*autres signes cliniques possibles:
*des {{Signe clinique | nom = lignes de Dennie-Morgan (signe clinique)|prévalence=25|Se=78|Sp=76|référence_prévalence=https://doi.org/10.1016%2Fj.jpeds.2015.03.033|référence_Se=https://doi.org/10.1111%2Fj.1346-8138.2011.01202.x|référence_Sp=https://doi.org/10.1111%2Fj.1346-8138.2011.01202.x}} au visage
**{{Signe clinique | nom = lignes de Dennie-Morgan (signe clinique)|prévalence=25|Se=78|Sp=76|référence_prévalence=https://doi.org/10.1016%2Fj.jpeds.2015.03.033|référence_Se=https://doi.org/10.1111%2Fj.1346-8138.2011.01202.x|référence_Sp=https://doi.org/10.1111%2Fj.1346-8138.2011.01202.x}}
*un {{Signe clinique | nom = pityriasis alba}}<ref group="note">Forme plus indolente de l'eczéma.</ref>: plaques rondes hypopigmentées, squameuses et parfois érythémateuses surtout sur le visage et touchant plus les nouveau-nés et les adolescents<ref>{{Citation d'un lien web|langue=en|titre=Pityriasis alba {{!}} DermNet NZ|url=https://dermnetnz.org/topics/pityriasis-alba/|site=dermnetnz.org|consulté le=2021-08-11}}</ref>
**{{Signe clinique | nom = pityriasis alba}}<ref group="note">Forme plus indolente de l'eczéma.</ref>: macules hypopigmentées mal délimitées, parfois légèrement squameuses, surtout présentes au visage des enfants<ref>{{Citation d'un lien web|langue=en|titre=Pityriasis alba {{!}} DermNet NZ|url=https://dermnetnz.org/topics/pityriasis-alba/|site=dermnetnz.org|consulté le=2021-08-11}}</ref>
*des plaques {{Signe clinique | nom = hypopigmentation|affichage=hypopigmentées}} ou des plaques de desquamation fines, plus fréquemment au visage
**hyperpigmentation périorbitaire
*des {{Signe clinique | nom = paumes hyperlinéaires}}.
**kératose pilaire
**xérose
**ichtyose vulgaire
**plis au cou antérieur
**{{Signe clinique | nom = paumes hyperlinéaires}}.
<gallery>
<gallery>
Fichier:Dennie-Morgan-Falte.jpg|Lignes de Dennie-Morgan
Fichier:Dennie-Morgan-Falte.jpg|Lignes de Dennie-Morgan

Version du 20 novembre 2022 à 14:39

Dermatite atopique
Maladie

Eczéma sur les mains
Caractéristiques
Signes Excoriations, Plaque, Suintement, Papule, Pityriasis alba, Squames, Lignes de Dennie-Morgan , Paumes hyperlinéaires, Kératose pilaire, Xérose, ... [+]
Symptômes
Infections, Prurit cutané , Xérose, Diaphorèse , Allergies alimentaires, Apparition de la condition en jeune âge, Tissus rêches, Laine, Détergents, Allergènes de contact, ... [+]
Diagnostic différentiel
Dermatite de contact, Éruptions médicamenteuses, Syndrome de Wiskott-Aldrich, Eczéma nummulaire, Infections fongiques cutanées, Dysplasie ectodermique, Syndrome d'hyper IgE, Syndrome de Netherton, Dermatite séborrhéique, Gale, ... [+]
Informations
Autres noms Dermatite atopique, dermite atopique, eczéma atopique
Wikidata ID Q229256
Spécialités Dermatologie, allergologie


L'eczéma atopique, également connu sous le nom de dermatite atopique, est la forme la plus courante de dermatite. On pense que des facteurs génétiques et environnementaux jouent un rôle dans la pathogenèse. L'eczéma est le plus souvent observé chez les enfants, mais peut être observé chez les adultes. Les personnes atteintes de la maladie ont tendance à avoir une peau sèche, qui démange et qui est sujette aux infections. [1]

Épidémiologie

La prévalence à vie de la dermatite atopique est d'environ 15 à 30 % chez les enfants et de 2 à 10 % chez les adultes. Environ 60 % des cas se développeront au cours de la 1ère année de vie. La prévalence de la dermatite atopique est plus fréquente dans les zones rurales que dans les zones urbaines. Cette incidence met l'accent sur le lien avec les facteurs liés au mode de vie et à l'environnement dans les mécanismes de la dermatite.

La dermatite atopique fait partie de la triade de l'atopie: dermatite atopique, asthme et rhinite allergique.

Environ 50 % des patients atteints de dermatite atopique sévère développeront de l'asthme et 75 % développeront une rhinite allergique.[2][1]

Physiopathologie

La recherche montre qu'il existe une composante génétique à la dermatite atopique. Une mutation courante a été observée dans le gène Filaggrine, un gène vital pour la maturité des cellules de la peau. Ce gène est responsable de la création des cornéocytes plats et durs qui forment la couche protectrice la plus externe de la peau. Chez un patient avec des cellules cutanées normales, les cornéocytes sont étroitement emballés de manière organisée. Un patient porteur d'une mutation du gène Filaggrine aura une barrière cutanée dysfonctionnelle en raison de l'organisation aléatoire des cellules de la peau. Les personnes atteintes d'eczéma ont également un nombre réduit de bêta-défensines dans la peau. Les bêta-défensines sont des peptides de défense de l'hôte qui sont essentiels pour combattre certaines bactéries, virus et champignons. Une diminution de ces peptides entraîne une augmentation de la colonisation et de l'infection, en particulier avec Staphylococcus aureus.[3][1]

Les personnes atteintes d'eczéma ont une barrière dysfonctionnelle qui cause divers problèmes. Les cellules qui composent notre peau sont essentielles pour une hydratation optimale de la peau. Les personnes atteintes d'eczéma ont tendance à avoir la peau sèche en raison du dysfonctionnement de la barrière cutanée. L'eau s'échappe plus facilement de la peau conduisant ainsi à une xérose cutanée. Ces personnes sont également plus sensibles à l'infection. Les substances nocives peuvent pénétrer plus facilement dans la peau en raison du dysfonctionnement. Conséquemment, les personnes atteintes de dermatite atopique ont tendance à avoir une réponse immunitaire inflammatoire biaisée et leur peau est facilement irritée par les parfums et les allergènes. [1]

Présentation clinique

Facteurs de risque

Les facteurs de risques[1]:

Questionnaire

  • Les caractéristiques essentielles au diagnostic:
    • Prurit
    • Distribution typique pour l'âge (voir l'examen clinique ci-bas)
    • Chronique ou récidivant
  • Les caractéristiques souvent présentes et qui supportent le diagnostique:
    • Xérose
    • Apparition de la condition en jeune âge
    • Histoire personnelle ou familiale d'atopie
  • Les déclencheurs peuvent inclure:
    • Climat: changement de saison, faible taux d'humidité
    • Irritant: tissus rêches/laine, sudation, détergents, etc.
    • Infections: fréquemment Staphylococcus aureus
    • Allergies environnementales: allergènes de contact
    • Allergies alimentaires: déclencheur chez une minorité de patients seulement (considérer en cas de dermatite atopique modérée à sévère, réfractaire)

Examen clinique

À l'examen dermatologique[1]:

  • des papules ou plaques érythémateuses et squameuses, souvent mal délimitées et présentant des excoriations
  • un suintement ou des croûtes, parfois même des vésicules - plus fréquent dans la dermatite atopique infantile
  • une lichénification des lésions cutanée en cas de grattage régulier[note 1] - survient surtout chez les adolescents et les adultes
  • une distribution de l'éruption cutanée variant en fonction de l'âge:
    • Nourrissons et jeunes enfants: visage, cou et surface des extenseurs
    • Atteinte des régions flexurales chez les plus vieux (creux poplités, plis antécubitaux)
  • chez les patients d'origine africaine ou asiatique: accentuation folliculaire et petites papules planes (eczéma papuleux) sont plus fréquents
  • autres signes cliniques possibles:

Examens paracliniques

Le diagnostic de l'eczéma est clinique. Certaines investigations peuvent être tentées en cas de doute sur le diagnostic ou le facteur déclencheur[1]:

  • un test d'allergie: pour trouver l'agent irritant
  • une biopsie cutanée (non indiquée de routine): l'histopathologie observée dans la dermatite atopique est non spécifique. Dans les lésions de phase aiguë, caractérisées par des papules érythémateuses intensément prurigineuses, l'histopathologie révèle une légère hyperplasie épidermique, des infiltrations de lymphocytes et de macrophages le long du plexus veineux du derme et un œdème intercellulaire de l'épiderme (spongiose). Les lésions biopsiées dans la dermatite atopique chronique, caractérisées par une lichénification et des papules fibreuses, peuvent révéler une hyperplasie accrue et une hyperkératose de la peau. Il existe également un infiltrat cellulaire inflammatoire dermique persistant avec des lymphocytes et des macrophages. À la phase chronique, absence de l'œdème (spongiose) qui est présent dans les lésions de la phase aiguë.

Diagnostic

Le diagnostic est généralement clinique en fonction de l'apparition de l'éruption cutanée et de ses antécédents[1].

Diagnostic différentiel

Le diagnostic différentiel de la dermatite atopique comprend plusieurs dermatites eczémateuses vs eczématiformes dont[8]:

Traitement

Le traitement[1]:

  • Toujours vérifier l'observance thérapeutique[9]
  • Hydratation quotidienne (base du traitement): avec une pommade[note 3] sans parfum et contenant peu de conservateurs
    • Hydratation BID lors des poussées[9]
    • Éviter les bains/douches trop chauds et trop fréquents
  • Évitement des facteurs déclencheurs: éviter les allergènes environnementaux, les savons et détergents agressifs, les parfums ainsi que les tissus rugueux ou non respirants
  • Anti-inflammatoires topiques lors des poussées[9] :
    • les stéroïdes[note 4]
      • chez l'adulte:
      • chez l'enfant:
        • au corps: classe 5-4 pour le corps, pommade BID pendant 4 à 8 semaines selon la sévérité
        • au visage: classe 6-5 pour le visage, pommade BID pendant 2 à 4 semaines selon la sévérité
    • le pimécrolimus 1 %, DIE 3 fois/semaine, en entretien chez l'adulte et l'enfant âgé de 3 mois et plus
    • le tacrolimus 0,1 %, DIE 3 fois/semaine, en entretien chez l'adulte et l'enfant âgé de 2 ans et plus
    • le tacrolimus 0,03 %, DIE 3 fois/semaine, en entretien chez l'enfant âgé de 6 mois à 2 ans
  • Antihistaminiques[9]: chez les enfants, les démangeaisons ont tendance à être pires la nuit. Les antihistaminiques oraux peuvent être utilisés par intermittence au coucher pour les troubles du sommeil dus aux démangeaisons, mais ils ne sont plus recommandés en utilisation diurne pour soulager les démangeaisons causées par l'eczéma

Suivi

Référence en dermatologie si il y a[9]:

  • un mauvais contrôle des crises malgré la prise en charge de première ligne optimisée
  • une perte de contrôle des complications infectieuses
  • une suspicion de dermatite de contact allergique sous-jacente.

Complications

En raison de la barrière cutanée dysfonctionnelle observée dans la dermatite atopique, les patients courent un risque accru d'infection par des agents pathogènes bactériens, viraux et fongiques[1][10]:

  • la cellulite, l'impétigo, les furoncles à S. aureus: environ 10 % des personnes en bonne santé sont colonisées par S. aureus par rapport à plus de 90 % des patients atteints de MA.[11] La densité de la colonisation par S. aureus est en corrélation avec la gravité de la dermatite.[12] En cas d'infections récidivantes, une décolonisation peut être tentée. La prise en charge se fait par la culture des lésions et l'antibiothérapie topique avec couverture gram+ si lésions localisées , ou PO si généralisée (céphalosporines de 1ére génération)
  • l'eczéma herpeticum: surinfection de l'eczéma par l'HSV-1. Les patients présentent des cloques généralisées, de la fièvre et de la fatigue. Les cloques apparaissent en grappes et peuvent couvrir une grande surface du corps. C'est une urgence médicale avec des complications telles que la kérato-conjonctivite, la méningite, l'encéphalite ou la septicémie bactérienne secondaire.
  • l'eczéma coxsackium: variante de la maladie pieds-mains-bouche qui est classiquement associée à l'entérovirus coxsackievirus A16. Au lieu de la présentation typique de cloques et d'érosions situées sur les mains, les pieds et le palais dur, les patients atteints présentent des cloques et des écorchures généralisées qui ont tendance à apparaître dans des régions précédemment touchées par la dermatite atopique. L'éruption cutanée peut ressembler à l'eczéma herpeticum, sans les symptômes de fièvre, de fatigue et de perte d'appétit.

Évolution

Chez la plupart des enfants, l'eczéma et ses symptômes disparaîtront à l'âge adulte. Cependant, il y a persistance accrue de la maladie chez les enfants atteints d'une forme chronique, d'une apparition tardive ou d'une maladie plus grave.[13]

Prévention

Il est essentiel de déterminer les déclencheurs pour un patient atteint de dermatite atopique. La réduction ou l'élimination de ces déclencheurs est une étape importante dans le traitement de la dermatite atopique. Les patients peuvent constater une amélioration de l'état de leur peau et une réduction des poussées s'ils évitent les allergènes (généralement les acariens, les œufs, les arachides, le lait, le poisson, le soja, le riz et le blé) et les irritants (en particulier les produits chimiques, la chaleur, les savons, l'humidité, l'acrylique et la laine).[1]

Notes

  1. Épaississement de la peau avec exagération des marques cutanées typiques dues au grattage ou au frottement.
  2. Forme plus indolente de l'eczéma.
  3. Une pommade est préférable à une crème en raison de la proportion élevée d'huile.
  4. Il est crucial que le patient et les parents comprennent que l'utilisation de stéroïdes topiques doit se limiter au traitement des lésions actives. Ils peuvent également être utilisés à titre prophylactique en appliquant le stéroïde topique quelques fois par semaine pour prévenir les poussées. Les stéroïdes topiques ne doivent pas être systématiquement utilisés au quotidien. L'utilisation à long terme de stéroïdes topiques peut provoquer une atrophie (amincissement de la peau), des vergetures (stries), de l'acné, des télangiectasies et une dermatite de rebond/rosacée. La force et la formulation du stéroïde topique doivent être soigneusement déterminées en fonction de la partie du corps affectée. Des stéroïdes moins puissants doivent être utilisés sur le visage et les régions intertrigineuses.

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 et 1,10 Valerie Nemeth et Justin Evans, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30855797, lire en ligne)
  2. Lawrence F. Eichenfield, Wynnis L. Tom, Sarah L. Chamlin et Steven R. Feldman, « Guidelines of care for the management of atopic dermatitis: section 1. Diagnosis and assessment of atopic dermatitis », Journal of the American Academy of Dermatology, vol. 70, no 2,‎ , p. 338–351 (ISSN 1097-6787, PMID 24290431, Central PMCID 4410183, DOI 10.1016/j.jaad.2013.10.010, lire en ligne)
  3. M.-L. Clausen, S. M. Edslev, P. S. Andersen et K. Clemmensen, « Staphylococcus aureus colonization in atopic eczema and its association with filaggrin gene mutations », The British Journal of Dermatology, vol. 177, no 5,‎ , p. 1394–1400 (ISSN 1365-2133, PMID 28317091, DOI 10.1111/bjd.15470, lire en ligne)
  4. https://doi.org/10.1016%2Fj.jpeds.2015.03.033
  5. https://doi.org/10.1111%2Fj.1346-8138.2011.01202.x
  6. https://doi.org/10.1111%2Fj.1346-8138.2011.01202.x
  7. (en) « Pityriasis alba | DermNet NZ », sur dermnetnz.org (consulté le 11 août 2021)
  8. Jooho P. Kim, Lucy X. Chao, Eric L. Simpson et Jonathan I. Silverberg, « Persistence of atopic dermatitis (AD): A systematic review and meta-analysis », Journal of the American Academy of Dermatology, vol. 75, no 4,‎ , p. 681–687.e11 (ISSN 1097-6787, PMID 27544489, Central PMCID 5216177, DOI 10.1016/j.jaad.2016.05.028, lire en ligne)
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 et 9,4 CENTRE INTÉGRÉ UNIVERSITAIRE DE SANTÉ ET DE SERVICES SOCIAUX DE L’ESTRIE – CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE SHERBROOKE – SERVICE DE DERMATOLOGIE, ALGORITHMES DE TRAITEMENTS POUR L’APPROCHE DE LA PREMIÈRE LIGNE DERMATOLOGIQUE, Sherbrooke, , 2e éd. (lire en ligne)
  10. Peck Y. Ong et Donald Y. M. Leung, « The infectious aspects of atopic dermatitis », Immunology and Allergy Clinics of North America, vol. 30, no 3,‎ , p. 309–321 (ISSN 1557-8607, PMID 20670815, Central PMCID 2913147, DOI 10.1016/j.iac.2010.05.001, lire en ligne)
  11. J. Q. Gong, L. Lin, T. Lin et F. Hao, « Skin colonization by Staphylococcus aureus in patients with eczema and atopic dermatitis and relevant combined topical therapy: a double-blind multicentre randomized controlled trial », The British Journal of Dermatology, vol. 155, no 4,‎ , p. 680–687 (ISSN 0007-0963, PMID 16965415, DOI 10.1111/j.1365-2133.2006.07410.x, lire en ligne)
  12. S. Wetzel et A. Wollenberg, « [Eczema herpeticatum] », Der Hautarzt; Zeitschrift Fur Dermatologie, Venerologie, Und Verwandte Gebiete, vol. 55, no 7,‎ , p. 646–652 (ISSN 0017-8470, PMID 15150652, DOI 10.1007/s00105-004-0744-1, lire en ligne)
  13. Peck Y. Ong et Donald Y. M. Leung, « Bacterial and Viral Infections in Atopic Dermatitis: a Comprehensive Review », Clinical Reviews in Allergy & Immunology, vol. 51, no 3,‎ , p. 329–337 (ISSN 1559-0267, PMID 27377298, DOI 10.1007/s12016-016-8548-5, lire en ligne)
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Est une complication de ...