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** Selon une revue Cochrane, leur utilisation en continu serait plus efficace que l'utilisation cyclique pour le soulagement de la douleur<ref name=":3" />. Les deux méthodes sont tout de même efficaces.  
** Selon une revue Cochrane, leur utilisation en continu serait plus efficace que l'utilisation cyclique pour le soulagement de la douleur<ref name=":3" />. Les deux méthodes sont tout de même efficaces.  
* Traitements progestatifs:
* Traitements progestatifs:
** Suppriment l'ovulation et induisent de l'atrophie endométriale. 
** Depo-provera
** Progestatifs (lévonorgestrel, étonorgestrel, acétate médroxyprogestérone retard)
** Progestatifs (lévonorgestrel, étonorgestrel, acétate médroxyprogestérone retard)
* Danazol
* Danazol
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* Stérilet de lévonorgestrel
* Stérilet de lévonorgestrel


Progestin regimens
The progesterone-only pill may decrease menstrual flow and up to 10% of users will develop amenorrhea. Contin- uous oral progestin is useful as an alternative to CHC with comparable pain relief and fewer side effects.67 Dienogest is a progestin that is significantly more effi- cient than placebo and non-inferior to leuprolide acetate in treating dysmenorrhea resulting from endometriosis. It induces a 39% amenorrhea rate at 6 months and presents a generally well tolerated side effect profile.68 Because many patients presenting with primary dysmenorrhea may have endometriosis lesions, dienogest is an interesting empirical treatment option in women not in need of contraception.
 
Depot medroxyprogesterone acetate works primarily by suppressing ovulation.61 It can also induce endometrial atrophy.62 Amenorrhea rates range from 55% at 12 months to 68% at 24 months.63 Women using depot medroxyprogesterone acetate for contraception tend to report reduced rates of dysmenorrhea.64e66 The progesterone-only pill may decrease menstrual flow and up to 10% of users will develop amenorrhea. Contin- uous oral progestin is useful as an alternative to CHC with comparable pain relief and fewer side effects.67 Dienogest is a progestin that is significantly more effi- cient than placebo and non-inferior to leuprolide acetate in treating dysmenorrhea resulting from endometriosis. It induces a 39% amenorrhea rate at 6 months and presents a generally well tolerated side effect profile.68 Because many patients presenting with primary dysmenorrhea may have endometriosis lesions, dienogest is an interesting empirical treatment option in women not in need of contraception.


Dysmenorrhea associated with endometriosis and ade- nomyosis has been shown to improve in LNG-IUS 52 mg users.69,70 In general, women with either primary or secondary dysmenorrhea are likely to report a reduc- tion in menstrual pain with LNG-IUS 52 mg.71e73 In a Cochrane review of LNG-IUS used for heavy menstrual bleeding, dysmenorrhea was significantly decreased in women randomly assigned to LNG-IUS 52 mg.74
Dysmenorrhea associated with endometriosis and ade- nomyosis has been shown to improve in LNG-IUS 52 mg users.69,70 In general, women with either primary or secondary dysmenorrhea are likely to report a reduc- tion in menstrual pain with LNG-IUS 52 mg.71e73 In a Cochrane review of LNG-IUS used for heavy menstrual bleeding, dysmenorrhea was significantly decreased in women randomly assigned to LNG-IUS 52 mg.74

Version du 24 avril 2020 à 15:29

Dysménorrhée
Approche clinique
Caractéristiques
Examens paracliniques IRM, TDM, Échographie pelvienne, Test de Papanicolaou, Pap test, Analyse d'urine, Test de grossesse, Échographie transvaginale, Culture vaginale, Culture cervicale, ... [+]
Drapeaux rouges
Péritonite, Leucorrhée (signe clinique), Température corporelle élevée (signe clinique), Douleur nouvelle ou soudaine, Douleur sans rémission

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Objectif du CMC
Dysménorrhée (56-2)

La dysménorrhée est définie par la présence de menstruations douloureuses. C'est un problème très répandu et cela peut être très invalidant pour la patiente et pouvant altérer la qualité de vie.[1][2][3]

La douleur pelvienne peut se manifester 1 à 3 jours avant les menstruations ou survenir en même temps que celles-ci. Son pic est généralement atteint 24h après le début des règles pour diminuer après le premier ou deuxième jour. Il s'agit d'une douleur crampiforme, pulsatile, sourde ou constante. Cette dernière peut irradier au niveau du dos et des jambes.[2]

Épidémiologie

La dysménorrhée est une cause importante d'absentéisme au travail ou à l'école[1][3].

  • Environ 5 à 15% des femmes ayant de la dysménorrhée primaire ont des douleurs assez importantes pour perturber les activités quotidiennes et/ou entraîner de l'absentéisme.[2]
  • La prévalence de dysménorrhée primaire diminue avec l'âge
  • La prévalence de dysménorrhée secondaire survient plus tard dans la vie

Étiologies

La dysménorrhée peut être d'origine primaire ou secondaire. [1][2]

Physiopathologie

Dysménorrhée primaire:[2][3]

  • L'utérus produit des prostaglandines (ex: la prostaglandine F, un stimulant du myomètre et un vasoconstricteur puissants) et d'autres médiateurs inflammatoires.
  • Ces prostaglandines et médiateurs inflammatoires peuvent engendrer des contractions utérines prolongées et une diminution de débit sanguin au niveau du myomètre, pouvant ainsi causer une certaine ischémie utérine et l'accumulation de métabolites anaérobiques.
  • Ce sont donc les contractions et l'ischémie utérines qui engendrent la douleur.
  • Certains facteurs sont jugés contributifs: l'élimination de tissu menstruel à travers le col, un orifice cervical étroit, une malposition de l'utérus, le manque d'exercice et le stress.

Facteurs de risque:

  • Précocité des premières règles
  • Menstruations longues ou abondantes
  • Tabagisme
  • Antécédents familiaux de dysménorrhée

Approche clinique

Questionnaire

Tout d'abord, il faut faire une revue complète des antécédents personnels et familiaux, médications et habitus. Par exemple:[2]

  • Médicaments: Contraception ? Stérilet ? Si oui, lequel ?
  • Antécédents médicaux: Causes de dysménorrhée secondaires (endométriose, adénomyose, fibromes, etc.)
  • Antécédents chirurgicaux: conisation cervicale, ablation de l'endomètre
  • Anamnèse sexuelle: antécédents d'abus sexuels, facteurs de risque d'ITSS, comprendre les besoins en matière de contraception
  • Antécédents menstruels:
    • Ménarche
    • Quantifier le flot menstruel (à quelle fréquence elle change ses serviettes / tampons), nombre de jours de flot abondant
    • Durée des menstruations / durée du cycle total, régularité
    • Présence de caillots ?
    • Saignements utérins anormaux ? (saignement intermenstruel, saignement abondant, irrégulier, etc.)

Histoire de la maladie actuelle[1][2][3]

  • Âge de début des symptômes / début des symptômes par rapport à la ménarche
    • Dysménorrhée primaire: classiquement après l'établissement des cycles ovulatoires (souvent dans les 5 ans après la ménarche, surtout dans la première année).
    • Dysménorrhée secondaire: souvent en corrélation avec la trouvaille d'une autre pathologie (endométriose, adénomyose, or léiomyome...)
      • On pense moins à la dysménorrhée primaire si les douleurs se présente dès la ménarche. Dans ce cas, il faut penser davantage à une malformation obstructive.[4]
  • Moment de la douleur par rapport aux menstruations
    • Surviennent avant, pendant ou après les menstruations?
      • Typiquement, début 1 ou 2 jours avant ou en même temps que les menstruations, puis diminuer sur une période de 12 à 72 h.
      • Douleur récurrente à presque chaque cycle menstruel
    • Y a-t-il de la douleur pelvienne sans lien avec les menstruations ? (oriente moins vers dysménorrhée primaire)
  • Décrire la douleur, son intensité, sa localisation
    • Typiquement, la douleur est crampiforme et pulsatile.
    • Douleur abdominale basse / suspubienne
    • Irradiation aux jambes, au dos
    • Ce qui suggère un autre diagnostic:
      • Une douleur unilatérale, douleur qui n'est pas an niveau de la ligne médiane
      • Douleur constante, qui augmente et diminue tout au long du cycle (la dysménorrhée peut être constante, mais cela est moins caractéristique)
      • Douleur en dehors des règles
  • Facteurs qui soulagent ou aggravent les symptômes ?
    • Traitements antérieurs tentés ?
      • Contraceptifs ?
      • AINS ?
    • Sport ?
  • Degré d'altération du fonctionnement

Revue des systèmes: plusieurs symptômes peuvent être associés à la dysménorrhée primaire[2][3]

Examen clinique

Examen pelvien[1][2][3]

  • Examen qui vise surtout la détection des causes de dysménorrhée secondaire. L'examen ne sera pas fait chez les adolescentes qui ne sont pas actives sexuellement et ayant une anamnèse qui oriente vers la dysménorrhée primaire, n'ayant pas de saignement utérin anormal ni signes d'infection. L'examen sera fait s'il n'y a pas de réponse au traitement.
  • Examen vulve / vagin / col
    • Lésions et masses faisant saillie au niveau du col
    • Écoulement endocervicale purulent (ex: maladie inflammatoire pelvienne)
  • Palpation:
    • Polype ou de fibrome prolabés
    • Masses annexielles
    • Épaississement de la paroi rectovaginale
    • Induration des cul-de-sacs
    • Nodules ou sensibilité localisée au niveau des ligaments utérosacrés, déplacement latéral du col de l'utérus secondaire à l'atteinte asymétrique d'un ligament utérosacré (ex secondaire à l'endométriose)
    • Utérus volumineux (ex: adénomyose, fibromes)

Examen abdominal[2][3]

  • Signes de péritonite
  • Utérus palpable
Distinction entre la dysménorrhée primaire et secondaire[2][3]
Dysménorrhée primaire Dysménorrhée secondaire
Âge de survenue Adolescente, jeune adulte Plus tard dans la vie, sauf si cause congénitale
Évolution S'améliore avec l'âge

S'améliore après l'accouchement

Empire avec le temps

S'améliore avec le traitement de la cause sous-jacente

Étiologie Idiopathique Endométriose

Adénomyose

Fibrome

Anomalie annexielles

Anomalie congénitale

Anamnèse Présence de nausées, vomissements, diarrhée, maux de dos, céphalées...

Douleur abdominale basse ou suspubienne, au niveau de la ligne médiane

Moins associée aux nausées, vomissements, etc.

Présence de dyspareunie possible

Douleur qui peut aussi être unilatérale non médiane

Examen physique Normal Normal ou trouvailles selon la pathologie causale (utérus volumineux, masse annexielle, etc.)

Drapeaux rouges

Investigation

La section facultative Investigation ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Les examens de laboratoire sont recommandés si on suspecte une dysménorrhée secondaire, selon l'étiologie suspectée. En cas de dysménorrhée primaire, les laboratoires sont normaux. [1][2][3]

L'imagerie est normale chez les patientes avec une dysménorrhée primaire.[1][2][3]

  • Échographie transvaginale :
    • Si suspecte anomalie anatomique sous-jacente par l'histoire ou l'examen physique. Bon pour les masses annexielles (endométriome, kyste ovarien, abcès, néoplasie ovarienne, hydrosalpinges), les fibromes et autres anomalies utérines. Modérément sensible pour l'adénomyose.
    • Femmes obèses si l'examen physique est limité
  • Échographie pelvienne :
    • Adolescentes plus jeunes chez qui l'échographie transvaginale et/ou l'examen bimanuel semble peu adéquate ou acceptable, si les antécédents orientent vers la dysménorrhée secondaire ou s'il y a échec au traitement.
    • Utilité diagnostique moindre que l'échographie transvaginale, mais tout de même bon pour les masses pelviennes ou une anomalie mullérienne.
  • Hystérosalpingographie ou Hystérosonographie
    • Identifier des polypes endométriaux, des fibromes sous-muqueux ou des anomalies congénitales.
  • Autres (rôle limité) :
    • IRM, TDM
      • Si une intervention chirurgicale est prévue
      • Mieux définir des anomalies identifiées (ex: anomalies congénitales)
      • IRM est bon en cas d'endométriose, d'adénomyose ou fibromes.

Laparoscopie [3][2]

  • La laparoscopie diagnostique est rarement requise, car, le plus souvent, il est possible de déterminer l'étiologie par l'histoire, l'examen physique et l'imagerie.
  • Elle a un rôle diagnostique et thérapeutiques lors d'endométriose ou de douleur pelvienne chronique.

Hystéroscopie[2] :Si les autres examens ne sont pas concluants

Prise en charge

Il est suggéré de ne pas attendre le diagnostic final avant d'entamer le traitement, puisque celui-ci peut être efficace qu'il s'agisse de dysménorrhée primaire ou secondaire. Lorsque le diagnostic est connu, le traitement pourra être ajusté en fonction de l'étiologie sous-jacente s'il s'agit de dysménorrhée secondaire. [2][4]

Médicaments

Traitement non hormonal:

  • AINS : soulagent la douleur et inhibent la production périphérique de prostaglandines. À débuter un ou deux jours avant le début des menstruations et à poursuivre pendant les premiers 1 ou 2 jours du cycle.
  • Acétaminophène: bonne tolérance gastro-intestinale

Traitement hormonal

  • Contraceptifs oraux combinés
    • Supprime l'ovulation et la prolifération d'endomètre, diminuant ainsi le flot menstruel et le relâchement de prostaglandines
    • Selon une revue Cochrane, leur utilisation en continu serait plus efficace que l'utilisation cyclique pour le soulagement de la douleur[4]. Les deux méthodes sont tout de même efficaces.
  • Traitements progestatifs:
    • Suppriment l'ovulation et induisent de l'atrophie endométriale.
    • Depo-provera
    • Progestatifs (lévonorgestrel, étonorgestrel, acétate médroxyprogestérone retard)
  • Danazol
  • Agonistes de la GnRH
  • Stérilet de lévonorgestrel

The progesterone-only pill may decrease menstrual flow and up to 10% of users will develop amenorrhea. Contin- uous oral progestin is useful as an alternative to CHC with comparable pain relief and fewer side effects.67 Dienogest is a progestin that is significantly more effi- cient than placebo and non-inferior to leuprolide acetate in treating dysmenorrhea resulting from endometriosis. It induces a 39% amenorrhea rate at 6 months and presents a generally well tolerated side effect profile.68 Because many patients presenting with primary dysmenorrhea may have endometriosis lesions, dienogest is an interesting empirical treatment option in women not in need of contraception.

Dysmenorrhea associated with endometriosis and ade- nomyosis has been shown to improve in LNG-IUS 52 mg users.69,70 In general, women with either primary or secondary dysmenorrhea are likely to report a reduc- tion in menstrual pain with LNG-IUS 52 mg.71e73 In a Cochrane review of LNG-IUS used for heavy menstrual bleeding, dysmenorrhea was significantly decreased in women randomly assigned to LNG-IUS 52 mg.74

Traitements ou thérapies complémentaires

  • Sommeil et repos adéquats
  • Activité physique
  • Chaleur
  • Régime pauvre en graisses, suppléments nutritionnels acides gras ω-3, des graines de lin, du Mg, de la vitamine E, du zinc et de la vitamine B1
  • Acupuncture, acupression
  • Chiropratique
  • Stimulation nerveuse électrique transcutanée
  • Hypnose
  • Neurectomie présacrée laparoscopique ou ablation nerveuse utérosacrée

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de l'approche clinique
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Y a-t-il des examens paracliniques à répéter ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
Exemple:
 

Complications

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 

Particularités

Pédiatrie

La section facultative Pédiatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 

Notes


Références

La section obligatoire Références ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 et 1,6 « 56-2 Dysménorrhée | Le Conseil médical du Canada », sur mcc.ca (consulté le 21 avril 2020)
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 et 2,16 JoAnn V. Pinkerton, « Dysménorrhée », sur Édition professionnelle du Manuel de Merck, (consulté le 21 avril 2020)
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 et 3,10 (en) « Dysmenorrhea in adult women: Clinical features and diagnosis », sur www.uptodate.com, (consulté le 21 avril 2020)
  4. 4,0 4,1 et 4,2 (en) Margaret Burnett et Madeleine Lemyre, « No. 345-Primary Dysmenorrhea Consensus Guideline », SOGS clinical practice guideline,‎ (DOI https://doi.org/10.1016/j.jogc.2016.12.023, lire en ligne)
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