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* usage de drogue intraveineuse
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* un syndrome de réponse inflammatoire systémique (SRIS).
* un syndrome de réponse inflammatoire systémique (SRIS).
* ****INESS


=== Questionnaire ===
=== Questionnaire ===
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Patient sans facteur de risque
Patient sans facteur de risque
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|Céphadroxil 500-1000 mg PO BID
Céphalexine 500-1000 mg PO QID
 
Cloxacilline 500 mg PO QID
 
amoxicilline/clavulanate 875/25 mg PO BID (en deuxième intention)
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|Cellulite compliquée
|Cellulite compliquée
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|Céfazoline 1000-2000 mg IV TID
Ceftriaxone 1000-2000 mg IV DIE
 
Cloxacilline 2000 mg IV QID
 
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! colspan="2" |Cas particuliers
! colspan="2" |Cas particuliers
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|Morsure animale
|Morsure animale
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|amoxicilline/clavulanate 875/25mg PO BID
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|Morsure humaine
|amoxicilline/clavulanate 875/25mg PO BID
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|Suspicion de SARM
|Suspicion de SARM acquis en communauté
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|Doxycycline 100mg PO BID
Minocycline 100mg PO BID
 
TMP/SMX 1–2 co. D.S. PO BID
 
Vancomycine 15-20 mg/kg IV BID ou TID
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|Immunosupprimés
|Immunosupprimés
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|vancomycine + pipéracilline-tazobactam<ref name=":1" />
 
imipenem/meropenem <ref name=":0" /><ref name=":1" />
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|Cellulite péri-orbitraire
|Cellulite péri-orbitraire
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|amoxicilline/clavulanate 875/25mg PO BID
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La durée de traitement est de 5 jours. S'il n'y a pas d'amélioration clinique, il faut prolonger la durée du traitement.
La durée de traitement est de 5 jours. S'il n'y a pas d'amélioration clinique, il faut prolonger la durée du traitement.
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In severely compromised patients as defined in question 13 (severe nonpurulent; Figure 1), broad-spectrum antimicrobial coverage may be considered (weak, moderate). Vancomycin plus either piperacillin-tazobactam or imipenem/meropenem is recommended as a reasonable empiric regimen for severe infections (strong, moderate).
In severely compromised patients as defined in question 13 (severe nonpurulent; Figure 1), broad-spectrum antimicrobial coverage may be considered (weak, moderate). Vancomycin plus either piperacillin-tazobactam or imipenem/meropenem is recommended as a reasonable empiric regimen for severe infections (strong, moderate).


Outpatient therapy is recommended for patients who do not have SIRS, altered mental status, or hemodynamic instability (mild nonpurulent; Figure 1) (strong, moderate). Hospitalization is recommended if there is concern for a deeper or necrotizing infection, for patients with poor adherence to therapy, for infection in a severely immunocompromised patient, or if outpatient treatment is failing (moderate or severe nonpurulent; Figure 1) (strong, moderate).<ref name=":1" />
Outpatient therapy is recommended for patients who do not have SIRS, altered mental status, or hemodynamic instability (mild nonpurulent; Figure 1) (strong, moderate).  
 
Hospitalization is recommended if there is concern for a deeper or necrotizing infection, for patients with poor adherence to therapy, for infection in a severely immunocompromised patient, or if outpatient treatment is failing (moderate or severe nonpurulent; Figure 1) (strong, moderate).<ref name=":1" />
 
céfazoline peut être administrée aux 24 h lors d’un traitement intraveineux ambulatoire en ajoutant 1-2 g de probénécide 30 à 60 minutes avant l’administration de la céfazoline chez les patients en bonne santé, sans atteinte rénale et pour une courte période seulement (24-72 heures). (INESS)


=== Morsure animale ===
=== Morsure animale ===

Version du 25 juillet 2021 à 19:07

Cellulite bactérienne
Maladie

Cellulite de la jambe gauche
Caractéristiques
Signes Choc septique, Douleur à la palpation cutanée, Oedème cutané, Chaleur cutanée au toucher, Érythème mal délimité, Température corporelle élevée
Symptômes
Fatigue , Malaise généralisé, Oedème cutané, Douleur cutanée, Chaleur cutanée, Érythème cutané , Température corporelle élevée
Diagnostic différentiel
Érysipèle, Fasciite nécrosante, Impétigo, Syndrome d'épidermolyse staphylococcique, Dermatite de contact, Arthrite septique, Syndrome de choc toxique, Angio-œdème, Syndrome de Sweet, Piqûre d'insecte, ... [+]
Informations
Terme anglais Cellulitis
Wikidata ID Q876887
Spécialités Médecine familiale, Médecine interne, Infectiologie, Dermatologie

Page non révisée

La cellulite est une infection cutanée bactérienne courante. Cette infection se présente généralement comme une zone érythémateuse mal délimitée, chaude et associée à un œdème et une sensibilité à la palpation. Il s'agit d'une infection bactérienne aiguë provoquant une inflammation du derme profond et du tissu sous-cutané environnant. L'infection est sans abcès ni écoulement purulent.

Épidémiologie

La cellulite est relativement courante et survient le plus souvent chez les adultes d'âge moyen et plus âgés. Lorsque l'on compare les hommes et les femmes, il n'y a pas de différence statistiquement significative dans l'incidence de la cellulite. Il y a environ 50 cas pour 1000 patients-années. [1] [2]

Étiologies

La peau sert de barrière protectrice empêchant la flore cutanée normale et d'autres agents pathogènes microbiens d'atteindre le tissu sous-cutané et le système lymphatique. Lorsqu'une rupture cutanée se produit, elle permet à la flore cutanée normale et à d'autres bactéries de pénétrer dans le derme et les tissus sous-cutanés. [3][2]

Les pathogènes les plus fréquemment impliqués sont[3][2] :

En fonction des facteurs de risque, les pathogènes suivants peuvent être impliqués[2] :

Physiopathologie

La cellulite est caractérisée par un érythème, une chaleur, un œdème et une sensibilité à la palpation résultant de la réponse des cytokines et des neutrophiles des bactéries pénétrant dans l'épiderme. Les cytokines et les neutrophiles sont recrutés dans la zone touchée après que les bactéries ont pénétré dans la peau, entraînant une réponse épidermique. Cette réponse comprend la production de peptides antimicrobiens et la prolifération des kératinocytes et est supposée produire les résultats d'examen caractéristiques de la cellulite.[4] Les streptocoques du groupe A, les bactéries les plus courantes à l'origine de la cellulite, peuvent également produire des facteurs de virulence tels que les exotoxines pyrogènes (A, B, C et F) et le superantigène streptococcique qui peut conduire à une maladie plus prononcée et invasive.[5][2] La cellulite peut se présenter sur n'importe quelle zone du corps, mais affecte le plus souvent les membres inférieurs. C'est rarement, (voir jamais) bilatéral.

Présentation clinique

Facteurs de risque

Plusieurs facteurs de risque peuvent augmenter les risques de développer une cellulite. Ces facteurs de risque sont divisés en deux catégories : tout ce qui pourrait provoquer une rupture de la barrière cutanée et les comorbidités.

Les causes de ruptures cutanées sont [6] :

Les comorbidités sont [7][2] :

Les facteurs de risques d'une infection à Staphylocoque aureus résistant à la méthiciline (SARM) sont [8] :

  • cellulite associée à un trauma penetrant
  • une infection à SARM à une autre localisation
  • une colonisation nasale de SARM
  • usage de drogue intraveineuse
  • un syndrome de réponse inflammatoire systémique (SRIS).
  • ****INESS

Questionnaire

Lors du questionnaires des patients présentant une cellulite, les cliniciens doivent demander un historique complet de la maladie qui se présente, en se concentrant sur le contexte dans lequel le patient a remarqué les changements cutanés.

Des antécédents médicaux complets et approfondis doivent également être effectués pour évaluer d'éventuelles conditions médicales chroniques qui prédisposent les patients à la cellulite[note 1][2].

Au questionnaire, le patient pourrait rapporter[2] :

Examen clinique

À l'examen cutané on pourra remarquer :

Il est essentiel de :

  • rechercher toute zone de dégradation cutané
  • rechercher des fluctuation à la palpation qui pourrait être signe de formation d'un abcès
  • délimité la zone pour surveiller la propagation continue
  • soigneusement évaluer la peau pour trouver la source potentielle de la cellulite en recherchant des microabrasions cutanées consécutives à des blessures, des piqûres d'insectes, des escarres ou des sites d'injection.
  • faire un examen attentifs des espaces entre les orteils si un membre inférieur est touché pour vérifier s'il y a une fissure ou un tinea pedis [9]
  • si des extrémités sont touchées, vérifier la bonne sensation et vérifier que les pouls sont intacts pour surveiller de près le syndrome des loges
  • noter le développement de vésicules, de bulles, de la présence de peau d'orange et de lymphadénopathie.[2]

Examens paracliniques

Certains examens paraclinique peuvent être effectués avec des indications spécifiques. Les indications de procéder à des examens paracliniques sont[5][2][9][8] :

  • la chimiothérapie
  • la neutropénie
  • être immunodéprimé
  • les morsures animale,
  • les blessure associées à l'eau
  • les immersion injuries
  • une toxicité systémique
  • une cellulite persistante malgré un traitement adéquat.

Les examens à effectuer dans ces circonstances sont[8] :

  • des hémocultures
  • la culture et l'examen microscopique du pu (si présent)
  • une biopsie.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La cellulite est diagnostiquée cliniquement sur la base de la présence d'une inflammation érythémateuse étendue du derme profond et du tissu sous-cutané. Il se présente de manière caractéristique avec une aggravation de l'érythème, de l'œdème, de la chaleur et de la sensibilité. Deux des quatre critères (chaleur, érythème, œdème ou sensibilité) sont nécessaires pour poser le diagnostic.

Diagnostic différentiel

La cellulite est une infection fréquemment rencontrée du derme profond et du tissu sous-cutané mais elle peut avoir de nombreux mimickers qui comprennent [2] :

Traitement

Antibiotique suggéré en fonction du contexte
Contexte Antibiotique
Cellulite non compliquée

Patient sans facteur de risque

Céphadroxil 500-1000 mg PO BID

Céphalexine 500-1000 mg PO QID

Cloxacilline 500 mg PO QID

amoxicilline/clavulanate 875/25 mg PO BID (en deuxième intention)

Cellulite compliquée Céfazoline 1000-2000 mg IV TID

Ceftriaxone 1000-2000 mg IV DIE

Cloxacilline 2000 mg IV QID

Cas particuliers
Morsure animale amoxicilline/clavulanate 875/25mg PO BID
Morsure humaine amoxicilline/clavulanate 875/25mg PO BID
Suspicion de SARM acquis en communauté Doxycycline 100mg PO BID

Minocycline 100mg PO BID

TMP/SMX 1–2 co. D.S. PO BID

Vancomycine 15-20 mg/kg IV BID ou TID

Immunosupprimés vancomycine + pipéracilline-tazobactam[8]

imipenem/meropenem [2][8]

Cellulite péri-orbitraire amoxicilline/clavulanate 875/25mg PO BID

La durée de traitement est de 5 jours. S'il n'y a pas d'amélioration clinique, il faut prolonger la durée du traitement.

Elevation of the affected area and treatment of predisposing factors, such as edema or underlying cutaneous disorders, are recommended (strong, moderate).

Cellulite typique sans symptômes systémiques = couverture streptococci

cellulite modérée non-purulente avec signe d'infection systémique = ATB systémique, couverture de staph aureus sensible à la methiciline

cellulite avec facteur de risque SARM utiliser vancomycin ou autre atsb qui couvre le SARM et les streptococci

In severely compromised patients as defined in question 13 (severe nonpurulent; Figure 1), broad-spectrum antimicrobial coverage may be considered (weak, moderate). Vancomycin plus either piperacillin-tazobactam or imipenem/meropenem is recommended as a reasonable empiric regimen for severe infections (strong, moderate).

Outpatient therapy is recommended for patients who do not have SIRS, altered mental status, or hemodynamic instability (mild nonpurulent; Figure 1) (strong, moderate).

Hospitalization is recommended if there is concern for a deeper or necrotizing infection, for patients with poor adherence to therapy, for infection in a severely immunocompromised patient, or if outpatient treatment is failing (moderate or severe nonpurulent; Figure 1) (strong, moderate).[8]

céfazoline peut être administrée aux 24 h lors d’un traitement intraveineux ambulatoire en ajoutant 1-2 g de probénécide 30 à 60 minutes avant l’administration de la céfazoline chez les patients en bonne santé, sans atteinte rénale et pour une courte période seulement (24-72 heures). (INESS)

Morsure animale

Absence de facteurs de risque Staphylocoque aureus

Les patients présentant une cellulite légère et ne présentant aucun signe systémique d'infection doivent être couverts d'antibiotiques ciblant le traitement des espèces streptococciques. Bien que considéré comme une cause moins courante, envisagez la couverture de la MSSA. La durée de l'antibiothérapie orale doit être d'une durée minimale de 5 jours.

Les choix d'antibiotiques sont [2] :

En cas de réaction allergique sévère aux inhibiteurs de la bêta-lactamase on donne:

Présence de facteurs de risque Staphylocoque aureus

Chez les patients présentant une cellulite purulente, une colonisation par un staphylocoque doré résistant à la méthicilline, une cellulite associée à des plaies perforantes étendues, ou des antécédents d'utilisation de médicaments par voie intraveineuse, les patients doivent recevoir des antibiotiques qui couvrent le Staphylocoque aureus.

L'antibiothérapie à suivre est :

Une durée plus longue du traitement antibiotique peut être envisagée chez les patients qui présentent une amélioration minime avec une antibiothérapie dans les 48 heures. [2]

Facteurs de risque Staphylocoque aureus résistant à la méthiciline

Si des facteurs de risque de SARM sont présents, amorcez un traitement de :

Si nous comme incertain si la cellulite est causée par un Staph aureus ou le Strep Pygogenes (en cas de cellulite purulente), il faut traiter empiriquement avec céphalexine et triméthoprime-sulfaméthoxazole en atteinte des cultures (hémocultures et culture d'abcès).

Patients immunodéprimés

Chez les patients immunodéprimés nécessitant une hospitalisation pour antibiotiques parentéraux, une couverture antimicrobienne à large spectre peut être nécessaire avec la vancomycine plus pipéracilline-tazobactam ou un carbapénème. [2]

Oedème

Si les patients ont un œdème important avec une cause connue d'œdème, la condition sous-jacente doit recevoir un traitement approprié pour réduire la quantité d'œdème et prévenir de futurs épisodes de cellulite. Les patients doivent être informés de la nécessité de maintenir la zone touchée surélevée.[9][2]

Hospitalisation

En cas d'atteinte de présence de signes systémiques d'infection[note 2][9][2], d'échec au traitement ambulatoire présentent un érythème à progression rapide, sont incapables de tolérer les médicaments oraux,, il faudra hospitalisé le patient. Dans ce cas, le traitement sera :

  • céfazoline IV
  • ensuite passer à la céphalexine pour un total de 5 jours ou 10 jours? de traitement.

Une hospitalisation avec induction d'antibiotiques systémiques peut être nécessaire pour les patients qui: ou ont une cellulite recouvrant ou à proximité d'une demeure dispositif médical. [2]

Une hospitalisation avec induction d'antibiotiques systémiques peut être nécessaire pour les patients qui: présentent des signes systémiques d'infection[note 2][9][2] , ont échoué au traitement ambulatoire, sont immunodéprimés, présentent un érythème à progression rapide, sont incapables de tolérer les médicaments oraux, ou ont une cellulite recouvrant ou à proximité d'une demeure dispositif médical. [2]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

Les complications possibles sont :

Évolution

La cellulite devrait commencer à se résorber dans les 24 à 48 heures suivant l'initiation des antibiotiques. Leur fournisseur de soins de santé peut marquer la zone de l'érythème et les patients doivent revenir s'ils: remarquent que l'érythème commence à se propager ou ne répondent pas aux antibiotiques, développent des fièvres persistantes, commencent à développer des bulles importantes ou sentent que la douleur s'aggrave.[9][2]

La récidive annuelle de la cellulite survient chez environ 8 à 20% des patients, avec des taux de récidive globaux atteignant jusqu'à 49%. Il y a un taux d'échec d'environ 18% avec le traitement antibiotique initial. Dans l'ensemble, la cellulite a un bon pronostic. [10][2]

Prévention

Les patients doivent être informés de prendre les antibiotiques prescrits comme indiqué. Gardez la zone propre et sèche. Lorsque cela est possible, ils doivent élever la zone au-dessus du niveau de leur cœur pour réduire l'œdème.[2]

Les patients doivent en outre maintenir une bonne hygiène des mains et nettoyer adéquatement toute future abrasion de leur peau.

Notes

  1. Les conditions médicales ont été énoncées dans la section facteur de risque.
  2. 2,0 et 2,1 Au moins deux de ces critères de réponse inflammatoire systémique: fièvre (plus de 38 degrés C), tachycardie (fréquence cardiaque supérieure à 90 battements / min), tachypnée (fréquence respiratoire supérieure à 20 respirations / min), leucocytose (globules blancs supérieurs à 12000 / mm) leucopénie (globules blancs inférieurs à 4000 / mm) ou bandémie supérieure ou égale à 10% .

Références

__NOVEDELETE__
  1. David R. McNamara, Imad M. Tleyjeh, Elie F. Berbari et Brian D. Lahr, « Incidence of lower-extremity cellulitis: a population-based study in Olmsted county, Minnesota », Mayo Clinic Proceedings, vol. 82, no 7,‎ , p. 817–821 (ISSN 0025-6196, PMID 17605961, DOI 10.4065/82.7.817, lire en ligne)
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 2,19 2,20 2,21 2,22 et 2,23 Brandon D. Brown et Kristen L. Hood Watson, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 31747177, lire en ligne)
  3. 3,0 et 3,1 Catherine Liu, Arnold Bayer, Sara E. Cosgrove et Robert S. Daum, « Clinical practice guidelines by the infectious diseases society of america for the treatment of methicillin-resistant Staphylococcus aureus infections in adults and children », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 52, no 3,‎ , e18–55 (ISSN 1537-6591, PMID 21208910, DOI 10.1093/cid/ciq146, lire en ligne)
  4. Jillian M. Richmond et John E. Harris, « Immunology and skin in health and disease », Cold Spring Harbor Perspectives in Medicine, vol. 4, no 12,‎ , a015339 (ISSN 2157-1422, PMID 25452424, Central PMCID 4292093, DOI 10.1101/cshperspect.a015339, lire en ligne)
  5. 5,0 et 5,1 M. W. Cunningham, « Pathogenesis of group A streptococcal infections », Clinical Microbiology Reviews, vol. 13, no 3,‎ , p. 470–511 (ISSN 0893-8512, PMID 10885988, DOI 10.1128/cmr.13.3.470-511.2000, lire en ligne)
  6. M. Quirke, F. Ayoub, A. McCabe et F. Boland, « Risk factors for nonpurulent leg cellulitis: a systematic review and meta-analysis », The British Journal of Dermatology, vol. 177, no 2,‎ , p. 382–394 (ISSN 1365-2133, PMID 27864837, DOI 10.1111/bjd.15186, lire en ligne)
  7. Keith S. Kaye, Lindsay A. Petty, Andrew F. Shorr et Marya D. Zilberberg, « Current Epidemiology, Etiology, and Burden of Acute Skin Infections in the United States », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 68, no Suppl 3,‎ 04 08, 2019, S193–S199 (ISSN 1537-6591, PMID 30957165, Central PMCID 6452002, DOI 10.1093/cid/ciz002, lire en ligne)
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 8,4 et 8,5 Dennis L. Stevens, Alan L. Bisno, Henry F. Chambers et E. Patchen Dellinger, « Practice Guidelines for the Diagnosis and Management of Skin and Soft Tissue Infections: 2014 Update by the Infectious Diseases Society of America », Clinical Infectious Diseases, vol. 59, no 2,‎ , e10–e52 (ISSN 1058-4838, DOI 10.1093/cid/ciu296, lire en ligne)
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 9,4 et 9,5 Dennis L. Stevens, Alan L. Bisno, Henry F. Chambers et E. Patchen Dellinger, « Practice guidelines for the diagnosis and management of skin and soft tissue infections: 2014 update by the infectious diseases society of America », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 59, no 2,‎ , p. 147–159 (ISSN 1537-6591, PMID 24947530, DOI 10.1093/cid/ciu296, lire en ligne)
  10. Itegbemie Obaitan, Richard Dwyer, Adam D. Lipworth et Thomas S. Kupper, « Failure of antibiotics in cellulitis trials: a systematic review and meta-analysis », The American Journal of Emergency Medicine, vol. 34, no 8,‎ , p. 1645–1652 (ISSN 1532-8171, PMID 27344098, DOI 10.1016/j.ajem.2016.05.064, lire en ligne)
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