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*** Diminuer la douleur et l'inflammation
*** Diminuer la douleur et l'inflammation via l'électrothérapie
**** La thérapie par ultrasons a été utilisée, bien que la littérature ne démontre pas qu'elle soit efficace.<ref name=":72">{{Citation d'un article|prénom1=D. S.|nom1=Downing|prénom2=A.|nom2=Weinstein|titre=Ultrasound therapy of subacromial bursitis. A double blind trial|périodique=Physical Therapy|volume=66|numéro=2|date=1986-02|issn=0031-9023|pmid=3511478|doi=10.1093/ptj/66.2.194|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3511478/|consulté le=2020-08-20|pages=194–199}}</ref>
**** La thérapie par ultrasons a été utilisée, bien que la littérature ne démontre pas qu'elle soit efficace.<ref name=":72">{{Citation d'un article|prénom1=D. S.|nom1=Downing|prénom2=A.|nom2=Weinstein|titre=Ultrasound therapy of subacromial bursitis. A double blind trial|périodique=Physical Therapy|volume=66|numéro=2|date=1986-02|issn=0031-9023|pmid=3511478|doi=10.1093/ptj/66.2.194|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3511478/|consulté le=2020-08-20|pages=194–199}}</ref>
*** Évaluer et corriger les défauts posturaux
*** Évaluer et corriger les défauts posturaux
**** Diminuer l'hypertonie et la rétraction de la musculature antérieure (pectoraux);
**** Diminuer l'hypertonie et la rétraction de la musculature antérieure (pectoraux);
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Le pronostic de la bursite sous-acromiale est bon. La plupart des patients s'améliorent avec une thérapie conservatrice. L'âge joue également un rôle, les patients plus âgés ayant généralement de moins bons résultats.<ref name=":82">{{Citation d'un article|prénom1=D. S.|nom1=Morrison|prénom2=A. D.|nom2=Frogameni|prénom3=P.|nom3=Woodworth|titre=Non-operative treatment of subacromial impingement syndrome|périodique=The Journal of Bone and Joint Surgery. American Volume|volume=79|numéro=5|date=1997-05|issn=0021-9355|pmid=9160946|doi=10.2106/00004623-199705000-00013|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9160946/|consulté le=2020-08-20|pages=732–737}}</ref> En général, la condition se limite d'elle-même et n'a pas d'impact à long terme sur la vie quotidienne du patient.<ref name=":03" />
Le pronostic de la bursite sous-acromiale est bon. La plupart des patients s'améliorent avec une thérapie conservatrice. L'âge joue également un rôle, les patients plus âgés ayant généralement de moins bons résultats.<ref name=":82">{{Citation d'un article|prénom1=D. S.|nom1=Morrison|prénom2=A. D.|nom2=Frogameni|prénom3=P.|nom3=Woodworth|titre=Non-operative treatment of subacromial impingement syndrome|périodique=The Journal of Bone and Joint Surgery. American Volume|volume=79|numéro=5|date=1997-05|issn=0021-9355|pmid=9160946|doi=10.2106/00004623-199705000-00013|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9160946/|consulté le=2020-08-20|pages=732–737}}</ref> En général, la condition se limite d'elle-même et n'a pas d'impact à long terme sur la vie quotidienne du patient.<ref name=":03" />
==Prévention==
==Prévention==
La bursite sous-acromiale est une étiologie courante de la douleur à l'épaule. Elle est généralement provoquée par des traumatismes ou des activités impliquant des mouvements répétitifs des membres supérieurs au-dessus des épaules. L'évitement de telles activités constitue donc un moyen de prévention efficace.<ref name=":03" /> De plus, une personne au prise avec un [[Syndrome d'accrochage sous-acromial|syndrome d'accrochage sous-acromial]] est plus susceptible de développer une bursite. Dans ce cas, il convient donc de déterminer la cause du conflit sous-acromial, et de la traiter efficacement afin d'éviter l'apparition éventuelle d'une bursite.
La bursite sous-acromiale est une étiologie courante de la douleur à l'épaule. Elle est généralement provoquée par des traumatismes ou des activités impliquant des mouvements répétitifs des membres supérieurs au-dessus des épaules. L'évitement de telles activités constitue donc un moyen de prévention efficace.<ref name=":03" />  
== Références ==
== Références ==
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Version du 16 septembre 2020 à 11:44

Bursite sous-acromiale
Maladie
Caractéristiques
Signes Diminution de l'amplitude articulaire de l'épaule, Abduction de l'épaule à 60 degrés, Rotation médiale de l'épaule limitée, Rotation latérale de l'épaule limitée, Douleur à la palpation de la face antérolatérale de l'épaule sous l'acromion, Test de Hawkins
Symptômes
Douleur à la face antérolatérale de l'épaule, Douleur à l'épaule au repos, Douleur à l'épaule augmentée en élévation du membre supérieur, Douleur au décubitus latéral ipsilatéral
Diagnostic différentiel
Déchirure de la coiffe des rotateurs, Tendinite de la longue portion du biceps, Arthrose acromio-claviculaire, Syndrome d'accrochage sous-acromial, Tendinopathie de la coiffe des rotateurs, Capsulite adhésive de l'épaule
Informations
Terme anglais Bursite sous-acromiale

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La bursite sous-acromiale est une inflammation de la bourse sous-acromiale.

Épidémiologie

La bursite représente environ 0,4% de toutes les visites de soins primaires. La prévalence de genre est égale. On le voit plus souvent chez les personnes qui participent à des activités impliquant des mouvements répétitifs des membres supérieurs au-dessus des épaules, telles que les athlètes, les ouvriers d'usine et les travailleurs manuels. Les personnes âgées sont plus sujettes à une bursite sous-acromiale probablement due à des années d'usure entraînant une augmentation de l'accrochage sous-acromial.

Anatomie

Une bourse est un sac rempli de liquide retrouvé à plusieurs endroits dans le corps humain. Sa fonction est d'offrir des surfaces de glissement au niveau des articulations et des surfaces du corps exposées à des degrés plus élevés de friction et d'usure. L'espace sous-acromial de l'épaule est un tel emplacement. Ainsi, la bourse qui s'y retrouve permet au tubercule majeur de glisser doucement sous l'acromion lors des mouvements d'élévation du membre supérieur. Cette bourse se compose de deux parties: la partie subacromiale et la partie subdeltoïdienne. La partie subacromiale couvre les fibres du muscle supra-épineux et elle est bordée en supérieur par l'acromion, le processus coracoïde et le ligament coracoacromial (CA). La bourse subacromiale remplit donc sa fonction en protégeant le muscle sous-épineux sous-jacent de l'usure par attrition entre la tête humérale et l'acromion. La partie subdeltoïdienne couvre la face externe de l'humérus proximal, jusqu'à environ 2 cm en-dessous du tubercule majeur, et elle est bordée en supérieur par les fibres musculaires proximales du deltoïde. La hauteur de l'espace sous-acromial varie d'environ 1,0 à 1,5 cm.[1]

Classification

La bursite peut se subdiviser en trois phases: aiguë, chronique et récurrente.

  • La bursite aiguë est marquée par une inflammation locale avec un liquide synovial épaissi. Cette condition entraîne un mouvement douloureux, en particulier avec les activités impliquant le mouvement des membres supérieurs au-dessus des épaules, car la bourse subit une friction entre la tête humérale / supra-épineux en inférieur et l'acromion / deltoïde en supérieur.
  • La bursite chronique entraîne le développement d'une douleur constante due à un processus inflammatoire chronique se produisant dans la bourse, qui peut également entraîner une faiblesse et une rupture éventuelle des ligaments et des tendons environnants. En cas de bursite chronique, une attention particulière doit être portée à la tendinite car ces entités peuvent être présentes simultanément.
  • Une bursite récurrente peut survenir chez les patients exposés à des traumatismes répétitifs ou à des activités de routine. Il peut également se présenter chez les patients souffrant de maladies inflammatoires telles que la polyarthrite rhumatoïde.

Étiologies

Tout processus qui provoque une inflammation de la bourse sous-acromiale peut entraîner une bursite. Les étiologies courantes incluent[2] :

Physiopathologie

N'importe laquelle des étiologies peut entraîner une inflammation de la bourse sous-acromiale, ce qui entraîne une augmentation de la formation de liquide et de collagène par les cellules synoviales de la bourse. Le liquide est souvent riche en fibrine et peut devenir hémorragique [3].

Présentation clinique

Une histoire approfondie et un examen physique sont d'une importance vitale car cette condition est principalement un diagnostic clinique. Il peut toutefois être difficile cliniquement de différencier une bursite d'une tendinite, puisqu'il existe peu d'éléments discriminants permettant de distinguer les deux pathologies.

Facteurs de risque

  • Travail ou activités impliquant des mouvements répétitifs des bras au-dessus des épaules
  • Syndrome d'accrochage sous-acromial
  • Polyarthrite rhumatoïde

Questionnaire

À l'histoire, les patients peuvent déclarer avoir subi un traumatisme tel qu'une chute avec un impact direct sur l'épaule. Les patients peuvent également rapporter avoir effectué, dans les jours précédents, des travaux, des sports ou des activités impliquant des mouvements répétitifs des membres supérieurs au-dessus des épaules.[4]

  • Douleur :
    • Généralement dans la face antérolatérale de l'épaule;
    • Présente au repos.
  • Facteurs exacerbants :
    • Mouvements en élévation du membre supérieur (difficiles à exécuter en raison de la douleur);
    • Patient incapable de se coucher sur son épaule.
  • Facteurs atténuants :
    • Repos;
    • Glace;
    • AINS.

Examen clinique

La forme aiguë de la bursite est généralement très souffrante. L'intensité et la vitesse d'installation de la douleur constituent les principales caractéristiques distinctives de la bursite. Ainsi, un patient n'ayant subi aucun trauma peut rapporter avoir perdu, en raison d'une douleur importante, presque toute sa capacité à lever son bras en l'espace de quelques jours seulement.

  • Mouvements actifs de l'épaule :
    • Difficulté d'exécution et limitation des amplitudes en raison de l'intensité de la douleur;
    • Schème non capsulaire: Limitation de l'abduction à 60 degrés associée à une petite limitation de rotation médiale ou latérale.
  • Mouvements passifs de l'épaule :
    • Les amplitudes sont diminuées;
    • Schème non-capsulaire: Limitation de l'abduction à 60 degrés associée à une petite limitation de rotation médiale ou latérale;
    • Une sensation de fin de mouvement "vide" est généralement notée, c'est-à-dire que la douleur est l'élément qui restreint l'amplitude des mouvements. [4]
  • Tests d'accrochage : Ces manoeuvres compriment la bourse sous-acromiale inflammée dans l'espace sous-acromial.
  • Palpation :
    • Sensibilité locale à la face antérolatérale de l'épaule sous l'acromion.

Examens paracliniques

Imagerie par résonance magnétique

L'accumulation de liquide dans la bourse est visible sur IRM.[4] De plus, l'IRM est une excellente modalité pour évaluer les muscles de la coiffe des rotateurs et toutes les lésions tendineuses qui peuvent être présentes.

Échographie

L'échographie peut être utilisée pour évaluer l'épaisseur de la bourse. Dans les épaules asymptomatiques, l'épaisseur moyenne de la bourse sous-acromiale est de 0,75 +/- 0,23 mm, alors que les patients atteints de bursite ont une épaisseur de bourse de 1,27 +/- 0,41 mm[5]. Même si l'échographie n'est pas fréquemment utilisée pour diagnostiquer la bursite sous-acromiale, elle peut être utile entre les mains d'un clinicien qualifié.

Tests de laboratoire

Les tests de laboratoire sont sans particularité et ne sont généralement pas indiqués comme tels pour poser un diagnostic. Si une arthrite septique de l'épaule ou de la bourse est suspectée, l'aspiration articulaire et l'analyse du liquide synovial sont à effectuer.[4]

Radiographie simple

La radiographie peut être réalisée, mais n'est pas nécessaire pour diagnostiquer la bursite sous-acromiale. Cependant, il peut être utile d'obtenir des radiographies de l'épaule pour exclure d'autres causes de douleur à l'épaule, notamment les fractures, les luxations, l'arthrose, etc. Une bourse est une structure des tissus mous et ne sera pas visible sur les films ordinaires, sauf si une calcification est présente.

La morphologie de l'acromion peut également être étudiée, car certaines variations anatomiques peuvent augmenter la probabilité de développer une bursite. La forme de l'acromion peut être plate (type 1), courbe (type 2) ou crochue (type 3). Avec un acromion incurvé ou crochu, incliné vers le bas, il y a moins d'espace disponible dans l'espace sous-acromial et la probabilité de développer un syndrome d'accrochage et donc, une bursite sous-acromiale augmente.

La présence d'un os acromial, c'est-à-dire un défaut de fusion de l'acromion, peut également être évalué. Un os acromial instable peut, à son tour, causer un syndrome d'accrochage et conduire à une bursite.

Diagnostic différentiel

Le diagnostic différentiel comprend [4]:

Traitement

Traitement non chirurgical

Le traitement non opératoire est la voie de traitement habituelle pour la bursite sous-acromiale. Les modalités de traitement comprennent:

  • Physiothérapie
    • Les objectifs de la physiothérapie incluent :
      • Diminuer la douleur et l'inflammation via l'électrothérapie
        • La thérapie par ultrasons a été utilisée, bien que la littérature ne démontre pas qu'elle soit efficace.[6]
      • Évaluer et corriger les défauts posturaux
        • Diminuer l'hypertonie et la rétraction de la musculature antérieure (pectoraux);
        • Renforcer la musculature postérieure (trapèze, rhomboïdes);
        • Améliorer l'extension thoracique.
      • Évaluer et restaurer les amplitudes de mouvements physiologiques ainsi que la biomécanique globale du membre supérieur via, entre autres, les mobilisations passives et la thérapie manuelle orthopédique
        • Diminuer les raideurs myofasciales et/ou capsulaires de l'articulation gléno-humérale (ex: raideur de la capsule postérieure);
        • Diminuer les raideurs myofasciales et/ou capsulaires des articulations intervertébrales de la région cervicale, cervico-thoracique et/ou thoracique haute.
      • Améliorer le contrôle musculaire gléno-huméral
        • Renforcer les muscles de la coiffe des rotateurs.
      • Améliorer le contrôle musculaire scapulo-thoracique (minimiser la dyskinésie scapulaire)
        • Renforcer les muscles scapulo-thoraciques (principalement le trapèze et le dentelé antérieur).
  • Repos et Modifications d'activités
    • Les patients bénéficient d'une période initiale de repos de l'activité exacerbante (occupation ou sport), en particulier les activités répétitives au-dessus de la tête et le soulèvement de charges lourdes.
  • Médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
  • Injections de corticostéroïdes dans la bourse[7].

Traitement chirurgical

Le traitement opératoire n'est réservé qu'aux cas récalcitrants non sensibles au traitement conservateur.

  • Bursectomie
    • Une bursectomie peut alors être réalisée soit par arthroscopie, soit par voie ouverte.

Si une intervention chirurgicale est effectuée, des procédures supplémentaires telles que la décompression sous-acromiale, la réparation de la coiffe des rotateurs, etc. peuvent être réalisées si nécessaire.

Complications

Dans le spectre des pathologies de l'épaule, la bursite sous-acromiale n'est pas celle qui est associée à de nombreuses complications.

Les complications sont davantage associées à son traitement qu'à la condition elle-même. Les injections répétées de stéroïdes posent toujours le risque théorique d'introduire une infection dans la peau ou l'articulation de l'épaule. On craint également d'endommager les muscles de la coiffe des rotateurs avec des injections récurrentes. Cependant, il n'y a pas de différence significative dans l'incidence des déchirures de la coiffe des rotateurs chez les patients qui ont reçu moins de ou plus de trois injections de corticostéroïdes sous-acromiaux[8].[4]

Évolution

Le pronostic de la bursite sous-acromiale est bon. La plupart des patients s'améliorent avec une thérapie conservatrice. L'âge joue également un rôle, les patients plus âgés ayant généralement de moins bons résultats.[9] En général, la condition se limite d'elle-même et n'a pas d'impact à long terme sur la vie quotidienne du patient.[4]

Prévention

La bursite sous-acromiale est une étiologie courante de la douleur à l'épaule. Elle est généralement provoquée par des traumatismes ou des activités impliquant des mouvements répétitifs des membres supérieurs au-dessus des épaules. L'évitement de telles activités constitue donc un moyen de prévention efficace.[4]

Références

__NOVEDELETE__
  1. Masood Umer, Irfan Qadir et Mohsin Azam, « Subacromial impingement syndrome », Orthopedic Reviews, vol. 4, no 2,‎ , e18 (ISSN 2035-8164, PMID 22802986, Central PMCID 3395987, DOI 10.4081/or.2012.e18, lire en ligne)
  2. (en) Faruqi T et Rizvi Tj, « Subacromial Bursitis », sur PubMed, 2020 jan (PMID 31082140, consulté le 20 août 2020)
  3. Zameer Hirji, Jaspal S. Hunjun et Hema N. Choudur, « Imaging of the bursae », Journal of Clinical Imaging Science, vol. 1,‎ , p. 22 (ISSN 2156-5597, PMID 21966619, Central PMCID 3177464, DOI 10.4103/2156-7514.80374, lire en ligne)
  4. 4,0 4,1 4,2 4,3 4,4 4,5 4,6 et 4,7 (en) Faruqi T et Rizvi Tj, « Subacromial Bursitis », sur PubMed, 2020 jan (PMID 31082140, consulté le 20 août 2020)
  5. Yao-Hung Tsai, Tsung-Jen Huang, Wei-Hsiu Hsu et Kuo-Chin Huang, « Detection of subacromial bursa thickening by sonography in shoulder impingement syndrome », Chang Gung Medical Journal, vol. 30, no 2,‎ , p. 135–141 (ISSN 2072-0939, PMID 17596002, lire en ligne)
  6. D. S. Downing et A. Weinstein, « Ultrasound therapy of subacromial bursitis. A double blind trial », Physical Therapy, vol. 66, no 2,‎ , p. 194–199 (ISSN 0031-9023, PMID 3511478, DOI 10.1093/ptj/66.2.194, lire en ligne)
  7. B. Blair, A. S. Rokito, F. Cuomo et K. Jarolem, « Efficacy of injections of corticosteroids for subacromial impingement syndrome », The Journal of Bone and Joint Surgery. American Volume, vol. 78, no 11,‎ , p. 1685–1689 (ISSN 0021-9355, PMID 8934482, DOI 10.2106/00004623-199611000-00007, lire en ligne)
  8. M. Bhatia, B. Singh, N. Nicolaou et K. J. Ravikumar, « Correlation between rotator cuff tears and repeated subacromial steroid injections: a case-controlled study », Annals of the Royal College of Surgeons of England, vol. 91, no 5,‎ , p. 414–416 (ISSN 1478-7083, PMID 19409148, Central PMCID 2758443, DOI 10.1308/003588409X428261, lire en ligne)
  9. D. S. Morrison, A. D. Frogameni et P. Woodworth, « Non-operative treatment of subacromial impingement syndrome », The Journal of Bone and Joint Surgery. American Volume, vol. 79, no 5,‎ , p. 732–737 (ISSN 0021-9355, PMID 9160946, DOI 10.2106/00004623-199705000-00013, lire en ligne)
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