Différences entre les versions de « Bloc auriculoventriculaire du troisième degré »
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− | + | {{Information maladie | acronyme = | image = | description_image = | wikidata_id = | autres_noms = | terme_anglais = Bloc auriculo-ventriculaire du troisième degré | vidéo = | son = | spécialités = | version_de_classe = 4 <!-- Ne modifier que si la structure de la page et ses propriétés sont conformes à celles définies par cette version de la classe. --> }} {{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Définition}} Un bloc auriculo-ventriculaire est une perte de la fonction régulière des voies électroconductrices cardiaques reliant le nœud sino-auriculaire (nœud SA) et les ventricules par conduction à travers le nœud auriculo-ventriculaire (nœud AV). Le bloc AV du troisième degré indique une perte complète de communication entre les oreillettes et les ventricules. Sans conduction appropriée à travers le nœud AV, le nœud SA ne peut pas agir pour contrôler la fréquence cardiaque, et le débit cardiaque peut diminuer suite à une perte de coordination des oreillettes et des ventricules. La condition peut être fatale si elle n'est pas traitée rapidement. La plupart des patients nécessiteront initialement une stimulation temporaire, suivie d'un stimulateur cardiaque permanent.<ref name=":0">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31424783</ref> | |
==Épidémiologie== | ==Épidémiologie== | ||
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}} Bien que les blocs AV soient assez fréquents, les blocs AV du troisième degré sont relativement rares. <ref name=":2">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28122885</ref> L'incidence dans la population générale semble être faible, environ 0,02 % à 0,04 %. chez les personnes ayant un fardeau de maladie plus important, l'incidence augmente avec une étude de patients de la Veterans Health Administration, démontrant une incidence de 1,1 % chez les personnes atteintes de diabète sucré et de 0,6 % chez celles souffrant d'hypertension.<ref name=":5">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16236932</ref><ref name=":0" /> | {{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}} Bien que les blocs AV soient assez fréquents, les blocs AV du troisième degré sont relativement rares. <ref name=":2">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28122885</ref> L'incidence dans la population générale semble être faible, environ 0,02 % à 0,04 %. chez les personnes ayant un fardeau de maladie plus important, l'incidence augmente avec une étude de patients de la Veterans Health Administration, démontrant une incidence de 1,1 % chez les personnes atteintes de diabète sucré et de 0,6 % chez celles souffrant d'hypertension.<ref name=":5">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16236932</ref><ref name=":0" /> | ||
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* ... La cause sous-jacente des blocs AV est variée et la même pour tous les degrés de blocs. Ces causes comprennent la fibrose idiopathique et les maladies cardiaques chroniques sous-jacentes telles que les cardiopathies structurelles, les cardiopathies ischémiques aiguës, la toxicité des médicaments, l'ablation ganglionnaire, les anomalies électrolytiques et le bloc cardiaque postopératoire, comme après un remplacement chirurgical ou transcathéter de la valve aortique.<ref name=":1">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29083636</ref> Autres causes de Le bloc AV comprend la maladie de Lyme et certaines maladies systémiques telles que les troubles vasculaires du collagène, l'amylose, la sarcoïdose et le lupus érythémateux disséminé. avec un bloc cardiaque complet infranodal est une affection potentiellement mortelle. Environ 5 à 10 % des patients présentant un IDM de la paroi inférieure développeront un bloc cardiaque complet, mais celui-ci peut disparaître en 2 à 48 heures. En général, un bloc cardiaque complet après un IDM aigu est rare. Les blocs AV peuvent accompagner l'occlusion de l'artère coronaire droite et la plupart disparaissent après revascularisation.<ref name=":0" /> Un bloc AV peut survenir après une chirurgie à cœur ouvert, une perfusion septale d'alcool et des interventions coronariennes percutanées. Après chirurgie valvulaire aortique, le bloc cardiaque complet est plus fréquemment observé chez les patientes et celles présentant une calcification annulaire.<ref name=":0" /> | * ... La cause sous-jacente des blocs AV est variée et la même pour tous les degrés de blocs. Ces causes comprennent la fibrose idiopathique et les maladies cardiaques chroniques sous-jacentes telles que les cardiopathies structurelles, les cardiopathies ischémiques aiguës, la toxicité des médicaments, l'ablation ganglionnaire, les anomalies électrolytiques et le bloc cardiaque postopératoire, comme après un remplacement chirurgical ou transcathéter de la valve aortique.<ref name=":1">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29083636</ref> Autres causes de Le bloc AV comprend la maladie de Lyme et certaines maladies systémiques telles que les troubles vasculaires du collagène, l'amylose, la sarcoïdose et le lupus érythémateux disséminé. avec un bloc cardiaque complet infranodal est une affection potentiellement mortelle. Environ 5 à 10 % des patients présentant un IDM de la paroi inférieure développeront un bloc cardiaque complet, mais celui-ci peut disparaître en 2 à 48 heures. En général, un bloc cardiaque complet après un IDM aigu est rare. Les blocs AV peuvent accompagner l'occlusion de l'artère coronaire droite et la plupart disparaissent après revascularisation.<ref name=":0" /> Un bloc AV peut survenir après une chirurgie à cœur ouvert, une perfusion septale d'alcool et des interventions coronariennes percutanées. Après chirurgie valvulaire aortique, le bloc cardiaque complet est plus fréquemment observé chez les patientes et celles présentant une calcification annulaire.<ref name=":0" /> | ||
==Physiopathologie== | ==Physiopathologie== | ||
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+ | '''Dans un''' bloc AV de troisième degré, aussi appelé bloc AV complet, la conduction électrique qui se fait normalement entre l’oreillette et le ventricule n’est jamais transmise<ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Eric J.|nom1=Topol|prénom2=Robert M.|nom2=Califf|titre=Textbook of cardiovascular medicine|éditeur=Lippincott Williams & Wilkins|date=2007|isbn=0-7817-7012-2|isbn2=978-0-7817-7012-5|oclc=70713552|lire en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/70713552|consulté le=2022-05-05}}</ref>. Cela mène à une dissociation auriculo-ventriculaire, caractérisée par des ondes P et des complexes QRS avec des rythmes distincts à l’ECG. Effectivement, le nœud SA poursuit son activité à un rythme fixe, mais les ventricules s'activent par un rythme d'échappement (jonctionnel ou ventriculaire) afin de conserver la fonction cardiaque. | ||
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+ | '''Les blocs''' de conduction sont regroupés en deux grandes catégories selon leur localisation dans le circuit électrique cardiaque: au-dessus du faisceau de His (échappement jonctionnel via des fascicules) ou au-dessous du faisceau de His (échappement ventriculaire via les myocytes). La morphologie du complexe QRS, la fréquence du rythme d’échappement ainsi que la présentation clinique peut varier pour ces deux catégories. | ||
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+ | '''Pour''' un bloc supra-hissien, par exemple au niveau du noeud AV, les QRS seront étroits avec un rythme de 40 à 60 bpm. Pour un bloc infra-hissien, par exemple au niveau du faisceau de His, les QRS seront larges avec un rythme plus lent, soit de de 20 à 40 bpm<ref>{{Citation d'un ouvrage|prénom1=Valentin|nom1=Fuster|titre=Hurst's the heart|éditeur=McGraw-Hill Medical|date=2008|isbn=978-0-07-149928-6|isbn2=0-07-149928-8|isbn3=978-0-07-149929-3|oclc=134991175|lire en ligne=https://www.worldcat.org/oclc/134991175|consulté le=2022-05-05}}</ref>. | ||
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+ | '''Plus''' le rythme d’échappement est lent, plus le débit sanguin est altéré et donc pire est la présentation clinique. Les patients avec cette maladie peuvent manifester des symptômes d’hypoperfusion, avoir des complications hémodynamiques comme des syncopes et peuvent même en mourir si leur condition n’est pas traitée. | ||
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+ | La fréquence cardiaque sera généralement inférieure à 45 à 50 battements/min et la plupart des patients seront hémodynamiquement instables. Ce rythme est insensible à l'atropine et à l'exercice.<ref name=":0" /> | ||
==Présentation clinique== | ==Présentation clinique== | ||
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Présentation clinique}} Les patients avec des blocs du troisième degré peuvent avoir des présentations cliniques variées. Rarement, les patients sont asymptomatiques. Habituellement, ils peuvent présenter une fatigue généralisée, de la fatigue, des douleurs thoraciques, un essoufflement, une présyncope ou une syncope. Ils peuvent présenter une instabilité hémodynamique importante et peuvent être obnubilés. L'état du patient au moment de la présentation peut varier en fonction de la maladie concomitante et de la vitesse du rythme d'échappement. Les patients présentant un bloc AV complet accompagnant un infarctus aigu du myocarde présentent souvent des symptômes ischémiques de douleur thoracique ou de dyspnée. Les antécédents médicaux incluent souvent la présence d'une maladie cardiovasculaire et/ou de ses facteurs de risque, notamment le diabète sucré, l'hypertension, la dyslipidémie et le tabagisme, etc.<ref name=":0" /> L'examen physique est généralement remarquable pour la bradycardie. L'examen JVP montre souvent des ondes A en canon dues à la contraction simultanée des oreillettes et des ventricules. Ainsi, une très grande onde de pression est ressentie contre la veine. En particulier avec des fréquences cardiaques inférieures à 40/min, les patients peuvent également présenter des caractéristiques compatibles avec une insuffisance cardiaque décompensée, une détresse respiratoire et une hypoprofusion telles que diaphorèse, tachypnée, altération de l'état mental, rétraction, peau froide et diminution du remplissage capillaire.<ref name=":0" /> La présence de tout nouveau souffle doit être noté car il existe une forte association entre le bloc AV complet et les cardiomyopathies, la calcification mitrale, la calcification aortique ou l'endocardite. S'il existe une insuffisance cardiaque concomitante mise en évidence par un galop en S, un œdème périphérique ou une hépatomégalie, la stimulation immédiate est un élément crucial de la prise en charge. les endocardites, qui provoquent des blocs cardiaques.<ref name=":0" /> | {{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Présentation clinique}} Les patients avec des blocs du troisième degré peuvent avoir des présentations cliniques variées. Rarement, les patients sont asymptomatiques. Habituellement, ils peuvent présenter une fatigue généralisée, de la fatigue, des douleurs thoraciques, un essoufflement, une présyncope ou une syncope. Ils peuvent présenter une instabilité hémodynamique importante et peuvent être obnubilés. L'état du patient au moment de la présentation peut varier en fonction de la maladie concomitante et de la vitesse du rythme d'échappement. Les patients présentant un bloc AV complet accompagnant un infarctus aigu du myocarde présentent souvent des symptômes ischémiques de douleur thoracique ou de dyspnée. Les antécédents médicaux incluent souvent la présence d'une maladie cardiovasculaire et/ou de ses facteurs de risque, notamment le diabète sucré, l'hypertension, la dyslipidémie et le tabagisme, etc.<ref name=":0" /> L'examen physique est généralement remarquable pour la bradycardie. L'examen JVP montre souvent des ondes A en canon dues à la contraction simultanée des oreillettes et des ventricules. Ainsi, une très grande onde de pression est ressentie contre la veine. En particulier avec des fréquences cardiaques inférieures à 40/min, les patients peuvent également présenter des caractéristiques compatibles avec une insuffisance cardiaque décompensée, une détresse respiratoire et une hypoprofusion telles que diaphorèse, tachypnée, altération de l'état mental, rétraction, peau froide et diminution du remplissage capillaire.<ref name=":0" /> La présence de tout nouveau souffle doit être noté car il existe une forte association entre le bloc AV complet et les cardiomyopathies, la calcification mitrale, la calcification aortique ou l'endocardite. S'il existe une insuffisance cardiaque concomitante mise en évidence par un galop en S, un œdème périphérique ou une hépatomégalie, la stimulation immédiate est un élément crucial de la prise en charge. les endocardites, qui provoquent des blocs cardiaques.<ref name=":0" /> |
Version du 5 mai 2022 à 10:54
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire. |
Exemple: | L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice. |
Un bloc auriculo-ventriculaire est une perte de la fonction régulière des voies électroconductrices cardiaques reliant le nœud sino-auriculaire (nœud SA) et les ventricules par conduction à travers le nœud auriculo-ventriculaire (nœud AV). Le bloc AV du troisième degré indique une perte complète de communication entre les oreillettes et les ventricules. Sans conduction appropriée à travers le nœud AV, le nœud SA ne peut pas agir pour contrôler la fréquence cardiaque, et le débit cardiaque peut diminuer suite à une perte de coordination des oreillettes et des ventricules. La condition peut être fatale si elle n'est pas traitée rapidement. La plupart des patients nécessiteront initialement une stimulation temporaire, suivie d'un stimulateur cardiaque permanent.[1]
1 Épidémiologie[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution. |
Exemple: | La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an. |
Bien que les blocs AV soient assez fréquents, les blocs AV du troisième degré sont relativement rares. [2] L'incidence dans la population générale semble être faible, environ 0,02 % à 0,04 %. chez les personnes ayant un fardeau de maladie plus important, l'incidence augmente avec une étude de patients de la Veterans Health Administration, démontrant une incidence de 1,1 % chez les personnes atteintes de diabète sucré et de 0,6 % chez celles souffrant d'hypertension.[3][1]
2 Étiologies[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
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Les étiologies sont :
- l'étiologie 1
- l'étiologie e 2
- l'étiologie 3
- ... La cause sous-jacente des blocs AV est variée et la même pour tous les degrés de blocs. Ces causes comprennent la fibrose idiopathique et les maladies cardiaques chroniques sous-jacentes telles que les cardiopathies structurelles, les cardiopathies ischémiques aiguës, la toxicité des médicaments, l'ablation ganglionnaire, les anomalies électrolytiques et le bloc cardiaque postopératoire, comme après un remplacement chirurgical ou transcathéter de la valve aortique.[4] Autres causes de Le bloc AV comprend la maladie de Lyme et certaines maladies systémiques telles que les troubles vasculaires du collagène, l'amylose, la sarcoïdose et le lupus érythémateux disséminé. avec un bloc cardiaque complet infranodal est une affection potentiellement mortelle. Environ 5 à 10 % des patients présentant un IDM de la paroi inférieure développeront un bloc cardiaque complet, mais celui-ci peut disparaître en 2 à 48 heures. En général, un bloc cardiaque complet après un IDM aigu est rare. Les blocs AV peuvent accompagner l'occlusion de l'artère coronaire droite et la plupart disparaissent après revascularisation.[1] Un bloc AV peut survenir après une chirurgie à cœur ouvert, une perfusion septale d'alcool et des interventions coronariennes percutanées. Après chirurgie valvulaire aortique, le bloc cardiaque complet est plus fréquemment observé chez les patientes et celles présentant une calcification annulaire.[1]
3 Physiopathologie[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie. |
Exemple: | Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique. |
Dans un bloc AV de troisième degré, aussi appelé bloc AV complet, la conduction électrique qui se fait normalement entre l’oreillette et le ventricule n’est jamais transmise[5]. Cela mène à une dissociation auriculo-ventriculaire, caractérisée par des ondes P et des complexes QRS avec des rythmes distincts à l’ECG. Effectivement, le nœud SA poursuit son activité à un rythme fixe, mais les ventricules s'activent par un rythme d'échappement (jonctionnel ou ventriculaire) afin de conserver la fonction cardiaque.
Les blocs de conduction sont regroupés en deux grandes catégories selon leur localisation dans le circuit électrique cardiaque: au-dessus du faisceau de His (échappement jonctionnel via des fascicules) ou au-dessous du faisceau de His (échappement ventriculaire via les myocytes). La morphologie du complexe QRS, la fréquence du rythme d’échappement ainsi que la présentation clinique peut varier pour ces deux catégories.
Pour un bloc supra-hissien, par exemple au niveau du noeud AV, les QRS seront étroits avec un rythme de 40 à 60 bpm. Pour un bloc infra-hissien, par exemple au niveau du faisceau de His, les QRS seront larges avec un rythme plus lent, soit de de 20 à 40 bpm[6].
Plus le rythme d’échappement est lent, plus le débit sanguin est altéré et donc pire est la présentation clinique. Les patients avec cette maladie peuvent manifester des symptômes d’hypoperfusion, avoir des complications hémodynamiques comme des syncopes et peuvent même en mourir si leur condition n’est pas traitée.
La fréquence cardiaque sera généralement inférieure à 45 à 50 battements/min et la plupart des patients seront hémodynamiquement instables. Ce rythme est insensible à l'atropine et à l'exercice.[1]
4 Présentation clinique[modifier | w]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: |
(Aucun texte)
(Texte)
(Texte)
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Les patients avec des blocs du troisième degré peuvent avoir des présentations cliniques variées. Rarement, les patients sont asymptomatiques. Habituellement, ils peuvent présenter une fatigue généralisée, de la fatigue, des douleurs thoraciques, un essoufflement, une présyncope ou une syncope. Ils peuvent présenter une instabilité hémodynamique importante et peuvent être obnubilés. L'état du patient au moment de la présentation peut varier en fonction de la maladie concomitante et de la vitesse du rythme d'échappement. Les patients présentant un bloc AV complet accompagnant un infarctus aigu du myocarde présentent souvent des symptômes ischémiques de douleur thoracique ou de dyspnée. Les antécédents médicaux incluent souvent la présence d'une maladie cardiovasculaire et/ou de ses facteurs de risque, notamment le diabète sucré, l'hypertension, la dyslipidémie et le tabagisme, etc.[1] L'examen physique est généralement remarquable pour la bradycardie. L'examen JVP montre souvent des ondes A en canon dues à la contraction simultanée des oreillettes et des ventricules. Ainsi, une très grande onde de pression est ressentie contre la veine. En particulier avec des fréquences cardiaques inférieures à 40/min, les patients peuvent également présenter des caractéristiques compatibles avec une insuffisance cardiaque décompensée, une détresse respiratoire et une hypoprofusion telles que diaphorèse, tachypnée, altération de l'état mental, rétraction, peau froide et diminution du remplissage capillaire.[1] La présence de tout nouveau souffle doit être noté car il existe une forte association entre le bloc AV complet et les cardiomyopathies, la calcification mitrale, la calcification aortique ou l'endocardite. S'il existe une insuffisance cardiaque concomitante mise en évidence par un galop en S, un œdème périphérique ou une hépatomégalie, la stimulation immédiate est un élément crucial de la prise en charge. les endocardites, qui provoquent des blocs cardiaques.[1]
4.1 Facteurs de risque[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque |
Commentaires: |
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Exemple: | Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
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Les facteurs de risque sont :
- le facteur de risque 1
- le facteur de risque 2
- le facteur de risque 3
- ...
4.2 Questionnaire[modifier | w]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Symptôme, Élément d'histoire |
Commentaires: |
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Exemple: | Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :
Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :
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Les symptômes de cette maladie sont :
- le symptôme 1
- le symptôme 2
- le symptôme 3
- l'élément d'histoire 1
- ...
4.3 Examen clinique[modifier | w]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique |
Commentaires: |
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Exemple: | L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
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L'examen clinique permet d'objecter iver les signes suivants :
- à l'examen clinique 1 :
- l'examen clinique 2 :
- ...
5 Examens paracliniques[modifier | w]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique |
Commentaires: |
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Exemple: | Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
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Les examens paracliniques pertinents sont :
- l'examen paraclinique 1 :
- le signe paraclinique 2
- l'examen paraclinique 2 :
- le signe paraclinique 4, ...
- ... Les patients en bloc cardiaque complet peuvent présenter une détresse importante. Après avoir stabilisé le patient, l'élément le plus important de l'évaluation est l'électrocardiogramme. L'électrocardiogramme aura une activité auriculaire et ventriculaire complètement indépendante sans relation entre l'onde P et le complexe QRS. La fréquence auriculaire, démontrée par l'onde P, devrait être plus rapide que la fréquence ventriculaire, comme le démontre le complexe QRS. Selon la localisation du bloc, le complexe QRS peut être de morphologie étroite (complexe QRS d'échappement jonctionnel) ou de morphologie large (complexe QRS d'échappement ventriculaire). Un ECG devrait également avoir une évaluation des signes d'ischémie. Un panel métabolique de base doit être obtenu pour corriger les anomalies électrolytiques et pour évaluer et corriger le glucose, qui pourrait être faible en toxicité des bêta-bloquants. La troponine doit également être évaluée et orientée pour rechercher un infarctus du myocarde. Chez les patients qui prennent de la digoxine, un taux de digoxine doit être obtenu pour exclure la toxicité de la digoxine. Une radiographie pulmonaire et une formule sanguine complète sont nécessaires pour évaluer les maladies concomitantes.[1]
6 Approche clinique[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
7 Diagnostic[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent). |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.
Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :
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8 Diagnostic différentiel[modifier | w]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
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Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
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Le différentiel diagnostic de la maladie est :
- le diagnostic différentiel 1
- le diagnostic différentiel 2
- le diagnostic différentiel 3
- ... Le bloc cardiaque du troisième degré est souvent un diagnostic simple sur l'ECG 12 dérivations. Elle se caractérise par la présence d'une dissociation AV complète, avec une fréquence auriculaire plus rapide que la fréquence ventriculaire. Il est crucial de différencier le bloc cardiaque complet de la dissociation AV liée à d'autres causes telles que les rythmes idioventriculaires où la fréquence ventriculaire est plus rapide que les fréquences auriculaires. Parfois, un bloc cardiaque du deuxième degré et des blocs AV de haut degré peuvent se faire passer pour un bloc cardiaque complet. Des ECG répétés ou des bandes de rythme plus longues sont souvent utiles pour faire une telle distinction.[1]
9 Traitement[modifier | w]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section décrit le traitement de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique |
Commentaires: |
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Exemple: | |
traitement 1}}
- le traitement 2
- le traitement 3
- ... La prise en charge initiale des patients bradycardiques symptomatiques commence généralement par l'utilisation d'atropine intraveineuse comme selon les recommandations avancées de réanimation cardiaque. Malheureusement, l'atropine agit au niveau du nœud AV et, en tant que telle, est rarement efficace pour augmenter la fréquence cardiaque chez les patients présentant un bloc cardiaque complet. Par la suite, les options médicales pour le traitement de la bradycardie symptomatique comprennent la dopamine et l'épinéphrine, mais les deux peuvent servir de mesure de soutien temporaire uniquement et peuvent également échouer à améliorer la fréquence cardiaque du patient dans le bloc AV du troisième degré. Souvent, les patients souffrant d'un bloc cardiaque du troisième degré auront besoin d'une stimulation. La stimulation transcutanée est plus rapide, même si la capture électrique et mécanique doit être assurée.[1] Si la stimulation transcutanée échoue, un stimulateur cardiaque transveineux est nécessaire. Chez les patients stables, une consultation cardiologue/électrophysiologiste pour la pose d'un stimulateur cardiaque permanent est la plus appropriée. La stimulation peut échouer si les maladies sous-jacentes à l'origine du bloc cardiaque ne sont pas traitées ; cela est particulièrement vrai dans le cas de la toxicité des médicaments. Chez ces patients, bien que le clinicien puisse essayer de stimuler, la priorité doit être de traiter la cause sous-jacente. Chez les patients présentant un bloc cardiaque secondaire à un infarctus aigu du myocarde, une stimulation temporaire est envisagée dans le laboratoire de cathétérisme. Chez les patients présentant un infarctus aigu inférieur secondaire à une occlusion de l'artère coronaire droite, la restauration rapide de la perfusion artérielle peut souvent conduire à une amélioration du bloc cardiaque complet. Au contraire, un bloc cardiaque complet lié à un infarctus antérieur est plus susceptible de nécessiter éventuellement la mise en place d'un stimulateur cardiaque permanent que les patients présentant un infarctus inférieur. Dans une vaste étude récente utilisant les bases de données nationales d'échantillons de patients hospitalisés chez des patients atteints d'un STEMI, l'incidence d'un bloc cardiaque complet s'est avérée être d'environ 2,2 % chez les patients atteints d'un IM aigu avec sus-décalage du segment ST. Elle a démontré que la mortalité hospitalière était significativement plus élevée chez les patients avec un bloc cardiaque complet que chez ceux qui n'en avaient pas. Bien que l'utilisation de la stimulation temporaire ait été plus élevée chez les patients atteints d'IM inférieur, le besoin d'un éventuel stimulateur cardiaque permanent était significativement plus élevé chez les patients atteints d'IM antérieur. bloc cardiaque complet. Une perfusion rapide augmente la probabilité de restauration du rythme natif.[1]
10 Suivi[modifier | w]
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Description: | Cette section traite du suivi de la maladie. |
Formats: | Texte |
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Exemple: | |
11 Complications[modifier | w]
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
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Exemple: | Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
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Les complications de cette maladie sont :
- la complication 1
- la complication 2
- la complication 3
- ... les blocs cardiaques de degré sont vulnérables à une diminution de la perfusion liée à une bradycardie symptomatique et à une diminution du débit cardiaque. Les patients peuvent subir des chutes et des blessures à la tête liées à la syncope. Les patients gravement malades peuvent être incapables de protéger leurs voies respiratoires et peuvent développer des nausées, éventuellement aspirer et peuvent avoir un délire. Les complications liées au traitement à court terme sont la malposition ou le délogement d'une sonde de stimulateur cardiaque et la perforation cardiaque à court terme et l'insuffisance cardiaque associée au stimulateur cardiaque à long terme. Comme c'est le cas pour le pronostic d'un bloc cardiaque du troisième degré, les complications dépendront fréquemment de l'état de santé général du patient et des mécanismes compensatoires.[1]
12 Évolution[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps. |
Formats: | Texte |
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Exemple: | La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an. |
Long terme le pronostic du bloc AV du troisième degré n'est pas bien étudié (car il nécessite souvent un traitement en milieu aigu). Le pronostic dépend probablement de la charge de morbidité sous-jacente du patient et de la gravité de la présentation clinique à son arrivée. Le bloc cardiaque complet est parfois réversible dans des contextes tels que l'infarctus du myocarde aigu en rétablissant la perfusion coronarienne et dans des conditions telles que la maladie de Lyme par un traitement aux antibiotiques. Historiquement, les blocs AV de haut grade ont été considérés comme un marqueur de mauvais pronostic chez les patients atteints d'infarctus du myocarde avec élévation du segment ST, et des études plus récentes indiquent que cela continue d'être vrai à l'ère de l'intervention coronarienne percutanée.[7] Comme mentionné précédemment, le la présence d'un bloc cardiaque complet dans l'IM aigu est un prédicteur indépendant de l'augmentation de la mortalité chez ces patients. Le bloc cardiaque complet survient plus fréquemment chez les patients avec un IM inférieur qu'avec un IM antérieur. Bien que l'utilisation de la stimulation temporaire soit plus élevée chez les patients atteints d'IM inférieur, le besoin d'un éventuel stimulateur cardiaque permanent était significativement plus élevé chez les patients atteints d'IM antérieur. En outre, la mortalité associée à un bloc cardiaque complet est plus élevée chez les patients atteints d'IM antérieur que chez les patients atteints d'IM inférieur. question de jugement du clinicien.[8] Une enquête italienne portant sur un peu plus de 24 000 patients a révélé que 21 % recevaient une stimulation pour les blocs AV du troisième degré.[9] Bien que le stimulateur cardiaque soit le traitement définitif pour les patients en bloc AV du troisième degré, il entraîne une certaine charge cardiaque l'échec lui-même. Une étude de 2017 a conclu que les patients avec des blocs AV sont plus enclins à développer une insuffisance cardiaque que ceux sans bloc AV, à la fois aiguë (plus de 6 mois) et chronique (6 mois à 4 ans), ce qui peut être lié à la dépendance aux RV fréquents. stimulation.[10][1]
13 Prévention[modifier | w]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent). |
Formats: | Texte |
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Exemple: | La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
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L'éducation des patients doit se concentrer sur la diminution du fardeau global de la maladie. Bien qu'ils ne soient pas directement responsables, les facteurs de risque cardiaque sous-jacents tels que le diabète sucré et l'hypertension, comme indiqué ci-dessus, sont associés à une prévalence accrue de bloc AV du troisième degré. D'une manière générale, l'accent mis sur la santé cardiaque globale devrait améliorer le pronostic. [1] Après l'implantation d'un stimulateur cardiaque permanent, les patients doivent être conseillés sur le soin des plaies et recevoir des instructions postopératoires. Les patients doivent souvent s'abstenir de conduire pendant environ 2 à 3 semaines et doivent utiliser une écharpe pendant la nuit et par intermittence pendant la journée pour éviter tout mouvement du bras au-dessus du niveau de l'épaule. Ils devraient recevoir une formation sur les appareils connus pour causer des interférences électromagnétiques importantes avec le stimulateur cardiaque, bien que cela soit moins préoccupant avec les appareils de stimulation de nouvelle génération disponibles sur le marché. Les patients doivent également être informés des contrôles périodiques du stimulateur cardiaque, y compris, mais sans s'y limiter, de la fonction de la sonde, des seuils de sonde et de l'évaluation de la durée de vie de la batterie. bloc AV). Chez les patients présentant un infarctus aigu du myocarde, une insuffisance cardiaque congestive ou des symptômes d'hypoperfusion, une consultation cardiologique urgente est indiquée. Un électrophysiologiste doit également être consulté le cas échéant.[1]
14 Références[modifier | w]
- Cette page a été modifiée ou créée le 2022/05/04 à partir de Third-Degree Atrioventricular Block (StatPearls / Third-Degree Atrioventricular Block (2021/08/09)), écrite par les contributeurs de StatPearls et partagée sous la licence CC-BY 4.0 international (jusqu'au 2022-12-08). Le contenu original est disponible à https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31424783 (livre).
- ↑ 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 et 1,15 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31424783
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28122885
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16236932
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29083636
- ↑ Eric J. Topol et Robert M. Califf, Textbook of cardiovascular medicine, Lippincott Williams & Wilkins, (ISBN 0-7817-7012-2 et 978-0-7817-7012-5, OCLC 70713552, lire en ligne)
- ↑ Valentin Fuster, Hurst's the heart, McGraw-Hill Medical, (ISBN 978-0-07-149928-6, 0-07-149928-8 et 978-0-07-149929-3, OCLC 134991175, lire en ligne)
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28267964
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23255456
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30821295
- ↑ https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28630373