« Affections buccales (approche clinique) » : différence entre les versions
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| colspan="2" |La pigmentation orale physiologique est couramment observée chez les personnes dont la peau est plus foncée. Elle résulte d'une augmentation de l'activité des mélanocytes et de la production de mélanine. La pigmentation est généralement bilatérale et se présente sous la forme d'une bande brun-gris sur la gencive. Des plaques pigmentées peuvent également être observées sur le palais dur, le plancher buccal ou la muqueuse buccale | | colspan="2" |La pigmentation orale physiologique est couramment observée chez les personnes dont la peau est plus foncée. Elle résulte d'une augmentation de l'activité des mélanocytes et de la production de mélanine. La pigmentation est généralement bilatérale et se présente sous la forme d'une bande brun-gris sur la gencive. Des plaques pigmentées peuvent également être observées sur le palais dur, le plancher buccal ou la muqueuse buccale | ||
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| rowspan=" | | rowspan="7" |'''Lésions blanches et rouges''' | ||
|Kératose frictionnelle | |Kératose frictionnelle | ||
| colspan="2" |Épaississement blanchâtre du revêtement interne de la bouche (muqueuse) qui peut être causé par un frottement constant, | | colspan="2" |Épaississement blanchâtre du revêtement interne de la bouche (muqueuse) qui peut être causé par un frottement constant, | ||
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Elle se présente sous forme de plaques blanchâtres, adhérentes dont la surface est irrégulière et parcourue de fines striures verticales. Essentiellement située sur les bords latéraux de la langue, elle atteint plus rarement la face interne de la muqueuse jugale, les gencives ou le plancher buccal. L'étendue des lésions augmente avec le déficit immunitaire.Le traitement le plus efficace est la lutte contre le déficit immunitaire. | Elle se présente sous forme de plaques blanchâtres, adhérentes dont la surface est irrégulière et parcourue de fines striures verticales. Essentiellement située sur les bords latéraux de la langue, elle atteint plus rarement la face interne de la muqueuse jugale, les gencives ou le plancher buccal. L'étendue des lésions augmente avec le déficit immunitaire.Le traitement le plus efficace est la lutte contre le déficit immunitaire. | ||
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| rowspan=" | | rowspan="5" |Affections buccales potentiellement malignes (précancéreuses) | ||
|Leucoplasie | |Leucoplasie | ||
|c'est la formation d'une zone anormale blanche ou grise sur la langue, l’intérieur de la joue, les gencives ou le plancher de la bouche. Bien que la leucoplasie soit en soi une affection bénigne et asymptomatique, certains patients finiront par développer un carcinome épidermoïde (SCC). Donc doit être différenciée des autres lésions buccales blanches qui ne comportent pas de risque accru de cancer. | |c'est la formation d'une zone anormale blanche ou grise sur la langue, l’intérieur de la joue, les gencives ou le plancher de la bouche. Bien que la leucoplasie soit en soi une affection bénigne et asymptomatique, certains patients finiront par développer un carcinome épidermoïde (SCC). Donc doit être différenciée des autres lésions buccales blanches qui ne comportent pas de risque accru de cancer. | ||
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|Érythroplasie | |Érythroplasie | ||
|C'est une lésion rare qui comporte un risque très élevé de transformation maligne, estimé à plus de 80%. | |C'est une lésion rare qui comporte un risque très élevé de transformation maligne, estimé à plus de 80%. 9 . | ||
Elle se présente | Elle se présente avec une surface rouge de lisse à granuleuse plus souvent situé sur le plancher buccal, la face ventrale de la langue et le palais mou. Elle est considérée comme une version rougeâtre de la leucoplasie <ref>{{Citation d'un article|langue=Français|auteur1=Mathieu Bergeron et Nathalie Audet|titre=L’érythroplasie vous fait-elle pâlir ?|périodique=Formation continue|date=2013|issn=|lire en ligne=|pages=}}</ref> | ||
On la trouve généralement chez les patients plus âgés qui consomment du tabac et de l'alcool. | |||
À l'examen histopathologique, l'érythroplasie montre fréquemment une dysplasie de grade variable et un carcinome in situ, ou, moins fréquemment, elle peut montrer des caractéristiques de SCC invasif. L'excision chirurgicale avec des marges claires est le traitement de choix. | |||
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|La fibrose buccale sous-muqueuse | |||
|C'est une maladie précancéreuse chronique évolutive caractérisée par une fibrose sous-muqueuse touchant toute la cavité buccale. FBSM ne survient que chez les individus qui mâchent des chiques de bétel contenant des noix d'arec (également appelées «paan») ou des noix d'arec et est observé avec une fréquence élevée dans les populations asiatiques, en particulier dans celles du sous-continent indien. | |||
Le diagnostic est généralement clinique, basé sur les caractéristiques cliniques et les antécédents de mastication de chique de bétel. | |||
Le diagnostic peut être confirmé par une biopsie muqueuse et un examen histopathologique, qui montre une hyalinisation du collagène, une oblitération des vaisseaux sanguins et une fibrose étendue s'étendant jusqu'à la couche musculaire superficielle. | |||
Il n'y a pas de traitement spécifique pour l'OSMF. L'arrêt de la consommation de produits de bétel est la pierre angulaire. Les traitements qui ont été tentés avec un bénéfice incertain comprennent les corticostéroïdes intralésionnels; la collagénase; ou hyaluronidase, chirurgie ou thérapie au laser. | |||
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|Lichen plan buccal et lésions lichénoïdes | |||
|Ces lésions sont également considérés comme des affections potentiellement malignes, bien que l'ampleur du risque associé de CCS buccal ne soit pas claire. Selon une étude le taux de transformation variait de 0 à 3,5% [26]. | |||
La présentation du lichen plan oral peut varier de plaques blanches ressemblant à de la dentelle sur la muqueuse buccale (stries de Wickham ) à des érosions sur la marge gingivale | |||
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|Lupus érythémateux discoïde oral | |||
|La muqueuse buccale est impliquée chez 15% à 20% des patients atteints de LED et peut parfois être la seule manifestation de la maladie. | |||
Les lésions muqueuses comprennent des plaques blanches; lésions cicatricielles blanc argenté; et des érosions ou ulcères perforés avec érythème environnant. | |||
Le diagnostic de DLE oral nécessite une biopsie et est basé sur la découverte histopathologique d'hyperkératose, la liquéfaction focale de la couche basale et la présence d'un infiltrat lichénoïde semblable à une bande dermique | |||
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|Maladie chronique du greffon contre l'hôte (MGCH) | |||
|Chez les patients atteints de maladie chronique du greffon contre l'hôte (MGCH) secondaire à une greffe de cellules souches hématopoïétiques (GCSH), la cavité buccale est le deuxième organe le plus souvent impliqué après la peau. La MGCH chronique orale est associée à un risque accru de cancer buccal, elle peut présenter un érythème, des lésions lichénoïdes (hyperkératosiques, des lignes blanches et des lésions d'apparence dentelée), des leucoplasies, des ulcérations, une atrophie muqueuse et des mucocèles. Les patients peuvent également présenter un dysfonctionnement salivaire, entraînant une hyposalivation et une xérostomie, et une ouverture buccale restreinte en raison de la sclérose des tissus périoraux. | |||
La présence de lésions lichénoïdes est un diagnostic de la MGCH, et Le traitement comprend des corticostéroïdes topiques puissants, des inhibiteurs topiques de la calcineurine et des analgésiques. | |||
Une surveillance clinique continue et une biopsie des lésions des muqueuses sont indiquées pour le diagnostic précoce du SCC oral, en particulier chez les patients atteints d'une maladie de longue date. | |||
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|Chéilite actinique | |||
|C'est une maladie précancéreuse de la lèvre causée par une exposition chronique au soleil. Elle est plus fréquente dans les zones géographiques à climat chaud et sec, chez les travailleurs de plein air et chez les individus à peau claire. Le diagnostic de chéilite actinique est généralement clinique. Cependant, la présence d'ulcération ou d'érosion soulève la suspicion de carcinome cellulaire squameux (SCC) et justifie une biopsie pour un examen histopathologique ( l'acanthose, l'hyperkératose, les zones focales d'atrophie et un degré variable d'atypie des kératinocytes. Un infiltrat inflammatoire cutané composé principalement de lymphocytes avec parfois des plasmocytes et des éosinophiles peut également être observé. L'élastose solaire est une découverte secondaire fréquente et importante ) . | |||
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Version du 20 mai 2020 à 17:28
Approche clinique | |
Caractéristiques | |
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Une pathologie buccale est une maladie affectant la bouche, Les causes les plus communes sont des traumas localisés, des infections, des conditions systémiques, des maladies dermatologiques et des ulcères aphteux.
Les lésions bénignes ou malignes de la cavité buccale peuvent prendre plusieurs formes . La plupart des symptômes associés à un cancer sont vagues et non spécifiques. La douleur peut constituer le principal motif de consultation ou être complètement absente des symptômes mentionnés par le patient
Le diagnostic et le traitement des affections buccales peuvent être difficiles pour la plupart des cliniciens en raison de la grande variété des diagnostic différentiels.
Une étude évaluant les pratiques des médecins concernant l'inspection buccale dans le cadre d'un examen physique des patients adultes et âgés et le diagnostic des lésions buccales courantes, a révélé que plus de 80% des cliniciens interrogés estimaient qu'il était important d'examiner la bouche des patients âgés, mais moins de 20% effectuaient régulièrement ces examens.[1]
Nom de l'objectif du CMC (Numéro)
Étiologies
Variantes normale de la muqueuse orale | Le leucoedème | Le leucoedème se présente sous la forme d'une altération muqueuse semi-transparente asymptomatique, bilatérale, blanc grisâtre qui disparaît généralement si la muqueuse est étirée.
Il serait causé par l'accumulation de liquide dans les cellules épithéliales de la muqueuse buccale. Dans une étude transversale menée aux États-Unis, sa prévalence était supérieure à 50% et s'est trouvé plus élevée chez les personnes afro-américaines.[2] Il serait | |
Les grains de Fordyce | Les granules de Fordyce ou les taches de Fordyce sont des glandes sébacées ectopiques que l'on trouve dans jusqu'à 90% de la population adulte. Elles présentent des papules discrètes de 1 à 2 mm, blanches à jaunes, réparties symétriquement sur la muqueuse buccale et le bord vermillon des lèvres. | ||
La pigmentation physiologique | La pigmentation orale physiologique est couramment observée chez les personnes dont la peau est plus foncée. Elle résulte d'une augmentation de l'activité des mélanocytes et de la production de mélanine. La pigmentation est généralement bilatérale et se présente sous la forme d'une bande brun-gris sur la gencive. Des plaques pigmentées peuvent également être observées sur le palais dur, le plancher buccal ou la muqueuse buccale | ||
Lésions blanches et rouges | Kératose frictionnelle | Épaississement blanchâtre du revêtement interne de la bouche (muqueuse) qui peut être causé par un frottement constant,
Ces lésions sont plus souvent secondaire à la mastication répétitive,la raison pourlaquelle on les trouve dans la surface d'occlusion dentaire D'autres causes comme des traumatismes chroniques, ( ex: coussinets rétromolaires et la crête alvéolaire édentée sous des prothèses mal ajustées (kératose alvéolaire bénigne de la crête [BARK]) Bien que les kératoses frictionnelles puissent imiter la leucoplasie et soient fréquemment biopsiées, elles ne sont pas des lésions potentiellement malignes et ont des caractéristiques cliniques uniques qui les distinguent de la «véritable leucoplasie». L'examen histopathologique montre une acanthose muqueuse et une hyperparakératose sans dysplasie. Aucun traitement n'est nécessaire. | |
La leucoplasie chevelue buccale | C'est est une atteinte muqueuse indolore due au virus d'Epstein-Barr. Quasi pathognomonique de l'infection par le VIH, sa découverte doit faire proposer un test diagnostique.
Elle se présente sous forme de plaques blanchâtres, adhérentes dont la surface est irrégulière et parcourue de fines striures verticales. Essentiellement située sur les bords latéraux de la langue, elle atteint plus rarement la face interne de la muqueuse jugale, les gencives ou le plancher buccal. L'étendue des lésions augmente avec le déficit immunitaire.Le traitement le plus efficace est la lutte contre le déficit immunitaire. | ||
Affections buccales potentiellement malignes (précancéreuses) | Leucoplasie | c'est la formation d'une zone anormale blanche ou grise sur la langue, l’intérieur de la joue, les gencives ou le plancher de la bouche. Bien que la leucoplasie soit en soi une affection bénigne et asymptomatique, certains patients finiront par développer un carcinome épidermoïde (SCC). Donc doit être différenciée des autres lésions buccales blanches qui ne comportent pas de risque accru de cancer. | |
Leucoplasie verruqueuse proliférative (LVP) | C'est une forme rare et agressive de leucoplasie orale non homogène caractérisée par une apparence verruqueuse, mutifocale, une croissance lente et un taux de transformation maligne de plus de 70%. | ||
Érythroplasie | C'est une lésion rare qui comporte un risque très élevé de transformation maligne, estimé à plus de 80%. 9 .
Elle se présente avec une surface rouge de lisse à granuleuse plus souvent situé sur le plancher buccal, la face ventrale de la langue et le palais mou. Elle est considérée comme une version rougeâtre de la leucoplasie [3] On la trouve généralement chez les patients plus âgés qui consomment du tabac et de l'alcool. À l'examen histopathologique, l'érythroplasie montre fréquemment une dysplasie de grade variable et un carcinome in situ, ou, moins fréquemment, elle peut montrer des caractéristiques de SCC invasif. L'excision chirurgicale avec des marges claires est le traitement de choix. | ||
La fibrose buccale sous-muqueuse | C'est une maladie précancéreuse chronique évolutive caractérisée par une fibrose sous-muqueuse touchant toute la cavité buccale. FBSM ne survient que chez les individus qui mâchent des chiques de bétel contenant des noix d'arec (également appelées «paan») ou des noix d'arec et est observé avec une fréquence élevée dans les populations asiatiques, en particulier dans celles du sous-continent indien.
Le diagnostic est généralement clinique, basé sur les caractéristiques cliniques et les antécédents de mastication de chique de bétel. Le diagnostic peut être confirmé par une biopsie muqueuse et un examen histopathologique, qui montre une hyalinisation du collagène, une oblitération des vaisseaux sanguins et une fibrose étendue s'étendant jusqu'à la couche musculaire superficielle. Il n'y a pas de traitement spécifique pour l'OSMF. L'arrêt de la consommation de produits de bétel est la pierre angulaire. Les traitements qui ont été tentés avec un bénéfice incertain comprennent les corticostéroïdes intralésionnels; la collagénase; ou hyaluronidase, chirurgie ou thérapie au laser. | ||
Lichen plan buccal et lésions lichénoïdes | Ces lésions sont également considérés comme des affections potentiellement malignes, bien que l'ampleur du risque associé de CCS buccal ne soit pas claire. Selon une étude le taux de transformation variait de 0 à 3,5% [26].
La présentation du lichen plan oral peut varier de plaques blanches ressemblant à de la dentelle sur la muqueuse buccale (stries de Wickham ) à des érosions sur la marge gingivale | ||
Lupus érythémateux discoïde oral | La muqueuse buccale est impliquée chez 15% à 20% des patients atteints de LED et peut parfois être la seule manifestation de la maladie.
Les lésions muqueuses comprennent des plaques blanches; lésions cicatricielles blanc argenté; et des érosions ou ulcères perforés avec érythème environnant. Le diagnostic de DLE oral nécessite une biopsie et est basé sur la découverte histopathologique d'hyperkératose, la liquéfaction focale de la couche basale et la présence d'un infiltrat lichénoïde semblable à une bande dermique | ||
Maladie chronique du greffon contre l'hôte (MGCH) | Chez les patients atteints de maladie chronique du greffon contre l'hôte (MGCH) secondaire à une greffe de cellules souches hématopoïétiques (GCSH), la cavité buccale est le deuxième organe le plus souvent impliqué après la peau. La MGCH chronique orale est associée à un risque accru de cancer buccal, elle peut présenter un érythème, des lésions lichénoïdes (hyperkératosiques, des lignes blanches et des lésions d'apparence dentelée), des leucoplasies, des ulcérations, une atrophie muqueuse et des mucocèles. Les patients peuvent également présenter un dysfonctionnement salivaire, entraînant une hyposalivation et une xérostomie, et une ouverture buccale restreinte en raison de la sclérose des tissus périoraux.
La présence de lésions lichénoïdes est un diagnostic de la MGCH, et Le traitement comprend des corticostéroïdes topiques puissants, des inhibiteurs topiques de la calcineurine et des analgésiques. Une surveillance clinique continue et une biopsie des lésions des muqueuses sont indiquées pour le diagnostic précoce du SCC oral, en particulier chez les patients atteints d'une maladie de longue date. | ||
Chéilite actinique | C'est une maladie précancéreuse de la lèvre causée par une exposition chronique au soleil. Elle est plus fréquente dans les zones géographiques à climat chaud et sec, chez les travailleurs de plein air et chez les individus à peau claire. Le diagnostic de chéilite actinique est généralement clinique. Cependant, la présence d'ulcération ou d'érosion soulève la suspicion de carcinome cellulaire squameux (SCC) et justifie une biopsie pour un examen histopathologique ( l'acanthose, l'hyperkératose, les zones focales d'atrophie et un degré variable d'atypie des kératinocytes. Un infiltrat inflammatoire cutané composé principalement de lymphocytes avec parfois des plasmocytes et des éosinophiles peut également être observé. L'élastose solaire est une découverte secondaire fréquente et importante ) . | ||
Physiopathologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition de l'approche clinique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Attention de ne pas traiter de la physiopathologie de l'ensemble des étiologies couvertes dans la section Étiologies, mais de seulement discuter de la physiopathologie générale de la sémiologie couverte par le sujet de la page. |
Exemple: | Différentes voies physiologiques peuvent entraîner une dyspnée, notamment via les chimiorécepteurs ASIC, les mécanorécepteurs et les récepteurs pulmonaires. On pense que trois composantes principales contribuent à la dyspnée : les signaux afférents, les signaux efférents et le traitement central de l'information. [...] |
Approche clinique
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Description: |
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Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Questionnaire
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Description: |
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Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant |
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Exemple: | Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
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Examen clinique
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Description: |
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Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique discriminant |
Commentaires: |
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Exemple: | Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
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Drapeaux rouges
Toute contribution serait appréciée.
Description: |
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Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Drapeau rouge |
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Exemple: | Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
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Investigation
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Description: | |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
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Exemple: | |
Prise en charge
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Description: | |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | |
Suivi
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de l'approche clinique |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Complications
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible). |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Particularités
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | |
Gériatrie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle gériatrique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Pédiatrie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Notes
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]). |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement. |
Exemple: | TRAITEMENTS
Les traitements:
NOTES Gériatrie
Pédiatrie
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Références
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | |
- ↑ « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 19 mai 2020)
- ↑ African Americans in White Suburbia, University Press of Kansas (ISBN 978-0-7006-2418-8 et 0-7006-2418-X, lire en ligne), p. 76–100
- ↑ Mathieu Bergeron et Nathalie Audet, « L’érythroplasie vous fait-elle pâlir ? », Formation continue,