« Épididymite aiguë » : différence entre les versions

De Wikimedica
(→‎Références : ajout modèle pour article importé d'une source)
(Première revue de littérature, à compléter)
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Information maladie
L’épididymite est une inflammation de l’épididyme et des canaux déférents chez l'homme. L'épididymite aiguë est la cause la plus fréquente de douleur scrotale chez l'adulte et est fréquemment associée à une ITS.<ref>{{Citation d'un lien web|nom1=Canada|prénom1=Agence de la santé publique du|titre=Guide sur les Syndromes associés aux ITS: Épididymite|url=https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies-infectieuses/sante-sexuelle-infections-transmissibles-sexuellement/lignes-directrices-canadiennes/syndromes-associes-its/epididymite.html|site=www.canada.ca|date=2021-12-09|consulté le=2022-02-12}}</ref>
 
 
https://bestpractice.bmj.com/topics/en-gb/186
 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4294852/
 
https://www.racgp.org.au/afp/2013/november/acute-scrotal-pain
 
https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Outils/Guides_ITSS/Guide_ITSS-Syndromes.pdf {{Information maladie
| acronyme =  
| acronyme =  
| image =  
| image =  
Ligne 11 : Ligne 20 :
| version_de_classe = 4 <!-- Ne modifier que si la structure de la page et ses propriétés sont conformes à celles définies par cette version de la classe. -->
| version_de_classe = 4 <!-- Ne modifier que si la structure de la page et ses propriétés sont conformes à celles définies par cette version de la classe. -->
}}
}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Définition}}
==Épidémiologie==
==Épidémiologie==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}}
Il est estimé que l'épididymite est l'affection testiculaire la plus fréquente chez l'homme, Aux États-Unis, l'affection représentait 1 consultation sur 144 à l'urgence et en clinique externe chez les hommes de 18 à 50 ans. <ref>{{Citation d'un article|prénom1=Diana L.|nom1=Heiman|prénom2=Timothy S.|nom2=Lishnak|prénom3=Thomas H.|nom3=Trojian|titre=Irritable Bowel Syndrome in Athletes and Exercise|périodique=Current Sports Medicine Reports|volume=7|numéro=2|date=2008-03|issn=1537-890X|doi=10.1097/01.csmr.0000313396.10064.09|lire en ligne=http://dx.doi.org/10.1097/01.csmr.0000313396.10064.09|consulté le=2022-02-12|pages=100–103}}</ref>{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}}


==Étiologies==
==Étiologies==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Étiologies}}
(à modifier)
 
La probabilité qu'une épididymite soit attribuable à une ITS, à une autre infection ou à une cause non infectieuse varie selon les pratiques sexuelles et les facteurs de risque d'infections transmissibles sexuellement (ITSS) de la personne. L'épididymite aiguë est principalement d'origine infectieuse. ''Chlamydia trachomatis'' (CT) et ''Neisseria gonorrhoeae'' (GC) sont les causes les plus fréquentes d'épididymite aiguë chez les individus sexuellement actifs.
 
Adultes avec facteurs de risque d'ITSS :
 
* Étiologie courante : CT et GC
* Facteurs prédisposants : urétrite causée par une ITS
 
Adultes sans facteurs de risque d'ITSS :
 
* Étiologie courante: coliformes ou ''Pseudomonas aeruginosa''
* Facteurs prédisposants : pathologie structurale sous-jacente, interventions urologiques ou prostatite bactérienne chronique
 
Les bactéries entériques peuvent être une cause fréquente d'épididymite aiguë chez les individus sexuellement actifs (de tous les groupes d'âge) qui ont des relations sexuelles anales insertives sans condoms.{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Étiologies}}
{| class="wikitable"
|+Table 2. Causes of epididymitis
|Sexually active men <35 years of age
 
* ''Chlamydia trachomatis''
* ''Neisseria gonorrhoea''
|-
|Men >35 years of age
 
* Coliform bacteria (''Escherichia coli'')
|-
|Children
 
* Enteroviruses
* Adenoviruses
* Mumps
* ''E. coli''
|-
|Chronic infection
 
* ''Mycobacterium tuberculosis''
* Many of the above untreated
|-
|Immunocompromised
 
* Cytomegalovirus (CMV)
* Cryptococcus
* ''Pseudomonas aeruginosa''
* ''Klebsiella pneumoniae''
|-
|Rare
 
* ''Ureaplasma urealyticum''
* Corynebacterium spp.
* ''Mima polymorpha''
* ''Proteus mirabilis''
* Brucella
* ''Treponema pallidum''
* Filariasis
|-
|Non infectious
 
* Sarcoidosis
* Behcet’s disease
* Amiodarone
* Idiopathic
* Polyarteritis nodosa
|}
 
Les étiologies sont :  
Les étiologies sont :  


Ligne 26 : Ligne 96 :


==Physiopathologie==
==Physiopathologie==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Physiopathologie}}
The pathophysiology involves the spread of microorganisms from the urethra, prostate, or seminal vesicles, as well as hematogenous spread as in tuberculosis, causing a painful, parenchymal inflammatory process resulting in epididymal swelling. The swelling may affect the testicles, which is known as epididymo-orchitis. <ref>{{Citation d'un article|prénom1=Chirag G|nom1=Gordhan|prénom2=Hossein|nom2=Sadeghi-Nejad|titre=Scrotal pain: Evaluation and management|périodique=Korean Journal of Urology|volume=56|numéro=1|date=2015-1|issn=2005-6737|pmid=25598931|pmcid=4294852|doi=10.4111/kju.2015.56.1.3|lire en ligne=https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4294852/|consulté le=2022-02-12|pages=3–11}}</ref>{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Physiopathologie}}


==Présentation clinique==
==Présentation clinique==
Ligne 42 : Ligne 112 :
===Questionnaire===
===Questionnaire===
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Questionnaire}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Questionnaire}}
(à modifier) 
Les signes et symptômes de l'épididymite comprennent :
* Apparition graduelle d'une douleur testiculaire unilatérale (parfois bilatérale);
* Sensibilité à la palpation du côté affecté;
* Tuméfaction palpable de l'épididyme;
* Écoulement urétral;
* Hydrocèle;
* Érythème et/ou œdème du scrotum du côté affecté;
* Fièvre, frissons ou les deux.
Des symptômes d'urétrite peuvent être présents en cas d'une épididymite causée par une ITS.
Envisager la possibilité d'une torsion du testicule dans tous les cas de douleur testiculaire aiguë et unilatérale. La torsion testiculaire est plus probable lorsque la douleur est soudaine et intense. Elle nécessite une évaluation et une prise en charge urgentes car la viabilité du testicule pourrait être compromise. La torsion testiculaire est plus fréquente chez les hommes de moins de 20 ans, mais elle peut survenir à tout âge.
Chez les enfants et les jeunes adultes, il importe de déterminer si l'œdème scrotal a une cause non infectieuse, comme un traumatisme. Une douleur légère dont l'intensité augmente au fil des semaines ou des mois peut être le signe d'une tumeur.
Epididymitis, unlike testicular torsion, presents with gradually increasing dull, unilateral scrotal pain. Involvement of the vasa may result in exquisite pain that affects the entire hemiscrotum as well as the spermatic cord. Discerning epididymitis from torsion may be difficult; however, a history of prior genitourinary tract procedures and sexual activity are more suggestive of epididymitis 
„ Douleur testiculaire progressive habituellement unilatérale2 „ Sensibilité de l’épididyme ou du testicule à la palpation „ Tuméfaction palpable de l’épididyme „ Écoulement urétral „ Hydrocèle „ Érythème ou œdème du scrotum sur le côté affecté „ Fièvre (INESSS)
Les symptômes de cette maladie sont :  
Les symptômes de cette maladie sont :  


Ligne 52 : Ligne 144 :
===Examen clinique===
===Examen clinique===
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Examen clinique}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Examen clinique}}
On physical examination, a tender and swollen epididymis and normal cremasteric reflex is observed.
L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :  
L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :  


Ligne 63 : Ligne 158 :
==Examens paracliniques==
==Examens paracliniques==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Examens paracliniques}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Examens paracliniques}}
(à modifier) 
* Obtenir un échantillon d'urine du premier jet ou effectuer un écouvillonnage urétral pour un test d'amplification des acides nucléiques (TAAN) pour détecter CT et GC, et un écouvillonnage urétral en vue d'une mise en culture pour détecter GC (si disponible).
* Obtenir un échantillon d'urine mi-jet pour cultureNote de bas de page5.
* L'échographie Doppler peut être utile pour différencier l'épididymite d'une torsion du testicule ou d'un abcès
Urinalysis, urine cultures, and urethral cultures must be performed to identify possible causative agents. A positive urinalysis and urine cultures, along with elevated white blood cell count, favor a diagnosis of epididymitis but do not exclude torsion. Color Doppler ultrasound or nuclear scintigraphy to assess blood flow to the scrotum and its contents will help to differentiate between the two entities. Doppler ultrasound would show increased blood flow, because this is an inflammatory condition [15].
Les examens paracliniques pertinents sont :  
Les examens paracliniques pertinents sont :  


Ligne 81 : Ligne 184 :
==Diagnostic différentiel==
==Diagnostic différentiel==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Diagnostic différentiel}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Diagnostic différentiel}}
{| class="wikitable"
|+Table 1. Signs and symptoms in the classic case
!
!Symptoms
!Signs
|-
|Testicular torsion
|
* Sudden onset
* Severe pain
* Associated nausea and vomiting
* Associated trauma
* Possible abdominal pain
|
* Asymmetric, high-riding testis
* Negative Prehn’s sign
* Absent cremasteric reflex
|-
|Epididymitis
|
* Insidious onset
* Fevers and rigors
* Lower urinary tract symptoms
* Relevant sexual history
|
* Indurated testis
* Tender upper pole of testis
* Positive Prehn’s sign
* Intact cremasteric reflex
|-
|Torsion of the appendix testis
|
* Gradual onset
* Moderate to severe pain
* Associated nausea and vomiting
|
* Localised tenderness to anterior testis
* ‘Blue dot’ sign
|}
Le diagnostic différentiel de la classe de maladie est :  
Le diagnostic différentiel de la classe de maladie est :  


Ligne 90 : Ligne 232 :
==Traitement==
==Traitement==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Traitement}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Traitement}}
(à modifier)
La décision de traiter de façon empirique ou d'attendre les résultats des tests doit être fondée sur :
* La gravité de l'état clinique;
* La probabilité qu'une infection soit présente;
* Les facteurs de risque d'ITSS décelés chez la personne;
* La disposition de la personne à s'abstenir de toute activité sexuelle et à revenir pour obtenir les résultats des tests ou faire l'objet d'un suivi.
{| class="wikitable"
|Traitement empirique pour l'épididymite aiguë lorsqu'une ITS (CT et/ou GC) est suspectée
|Traitement empirique pour l'épididymite aiguë lorsqu'une co-infection d'ITS (CT et/ou GC) et de bactéries entériques est suspectée
|-
|Ceftriaxone 250 mg par voie IM en dose unique [A-I]
plus
Doxycycline 100 mg PO BID pendant 10 à 14 jours [A-I]
|Ceftriaxone 250 mg par voie IM en dose unique [A-I]
plus
Lévofloxacine 500 mg PO 1 fois par jour pendant 10 jours [B-III]
Remarque : Ce traitement est recommandé pour les individus qui ont des relations sexuelles anales insertives sans condoms.
|}
Envisager une consultation d'urgence avec un collègue expérimenté et une hospitalisation lorsqu'une douleur intense ou une forte fièvre semblent indiquer un autre diagnostic ou une infection compliquée (torsion du testicule, infarctus testiculaire, abcès, fasciite nécrosante)Note de bas de page6.
Les traitements suggérés sont les suivants :  
Les traitements suggérés sont les suivants :  


Ligne 98 : Ligne 268 :


==Suivi==
==Suivi==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Suivi}}
Évaluer la réponse au traitement 48 heures après le début du traitement. En l'absence d'amélioration clinique, revoir le diagnostic et le traitement.
 
L'indication pour le test de contrôle dépend de l'agent pathogène confirmé par les analyses de laboratoire. Consulter le guide propre à l'étiologie.
 
Lorsqu'un traitement pour une ITS est indiqué, il convient de notifier, d'évaluer, de dépister et de traiter (le cas échéant) les partenaires sexuels. Consulter les guides propres à l'étiologie pour connaître les recommandations sur la déclaration obligatoire et la notification aux partenaires.{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Suivi}}


==Complications==
==Complications==

Version du 12 février 2022 à 16:21

L’épididymite est une inflammation de l’épididyme et des canaux déférents chez l'homme. L'épididymite aiguë est la cause la plus fréquente de douleur scrotale chez l'adulte et est fréquemment associée à une ITS.[1]


https://bestpractice.bmj.com/topics/en-gb/186

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4294852/

https://www.racgp.org.au/afp/2013/november/acute-scrotal-pain

https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Outils/Guides_ITSS/Guide_ITSS-Syndromes.pdf

Épididymite aiguë
Maladie
Caractéristiques
Signes Hydrocèle, Érythème scrotal, Oedème scrotal, Écoulement urétral, Masse testiculaire, Douleur à la palpation du testicule, Signe de Prehn , Température corporelle élevée
Symptômes
Frissons, Hématurie macroscopique , Écoulement urétral, Pollakiurie , Dysurie , Hématospermie , Douleur testiculaire
Diagnostic différentiel
Épididymite chronique, Orchite, Tumeur testiculaire, Traumatisme testiculaire, Torsion testiculaire, Torsion de l'appendice testiculaire, Abcès testiculaire, Gangrène de Fourier

Page non révisée

Épidémiologie

Il est estimé que l'épididymite est l'affection testiculaire la plus fréquente chez l'homme, Aux États-Unis, l'affection représentait 1 consultation sur 144 à l'urgence et en clinique externe chez les hommes de 18 à 50 ans. [2]

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Étiologies

(à modifier)

La probabilité qu'une épididymite soit attribuable à une ITS, à une autre infection ou à une cause non infectieuse varie selon les pratiques sexuelles et les facteurs de risque d'infections transmissibles sexuellement (ITSS) de la personne. L'épididymite aiguë est principalement d'origine infectieuse. Chlamydia trachomatis (CT) et Neisseria gonorrhoeae (GC) sont les causes les plus fréquentes d'épididymite aiguë chez les individus sexuellement actifs.

Adultes avec facteurs de risque d'ITSS :

  • Étiologie courante : CT et GC
  • Facteurs prédisposants : urétrite causée par une ITS

Adultes sans facteurs de risque d'ITSS :

  • Étiologie courante: coliformes ou Pseudomonas aeruginosa
  • Facteurs prédisposants : pathologie structurale sous-jacente, interventions urologiques ou prostatite bactérienne chronique

Les bactéries entériques peuvent être une cause fréquente d'épididymite aiguë chez les individus sexuellement actifs (de tous les groupes d'âge) qui ont des relations sexuelles anales insertives sans condoms.

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].
Table 2. Causes of epididymitis
Sexually active men <35 years of age
  • Chlamydia trachomatis
  • Neisseria gonorrhoea
Men >35 years of age
  • Coliform bacteria (Escherichia coli)
Children
  • Enteroviruses
  • Adenoviruses
  • Mumps
  • E. coli
Chronic infection
  • Mycobacterium tuberculosis
  • Many of the above untreated
Immunocompromised
  • Cytomegalovirus (CMV)
  • Cryptococcus
  • Pseudomonas aeruginosa
  • Klebsiella pneumoniae
Rare
  • Ureaplasma urealyticum
  • Corynebacterium spp.
  • Mima polymorpha
  • Proteus mirabilis
  • Brucella
  • Treponema pallidum
  • Filariasis
Non infectious
  • Sarcoidosis
  • Behcet’s disease
  • Amiodarone
  • Idiopathic
  • Polyarteritis nodosa

Les étiologies sont :

Physiopathologie

The pathophysiology involves the spread of microorganisms from the urethra, prostate, or seminal vesicles, as well as hematogenous spread as in tuberculosis, causing a painful, parenchymal inflammatory process resulting in epididymal swelling. The swelling may affect the testicles, which is known as epididymo-orchitis. [3]

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

(à modifier)

Les signes et symptômes de l'épididymite comprennent :

  • Apparition graduelle d'une douleur testiculaire unilatérale (parfois bilatérale);
  • Sensibilité à la palpation du côté affecté;
  • Tuméfaction palpable de l'épididyme;
  • Écoulement urétral;
  • Hydrocèle;
  • Érythème et/ou œdème du scrotum du côté affecté;
  • Fièvre, frissons ou les deux.

Des symptômes d'urétrite peuvent être présents en cas d'une épididymite causée par une ITS.

Envisager la possibilité d'une torsion du testicule dans tous les cas de douleur testiculaire aiguë et unilatérale. La torsion testiculaire est plus probable lorsque la douleur est soudaine et intense. Elle nécessite une évaluation et une prise en charge urgentes car la viabilité du testicule pourrait être compromise. La torsion testiculaire est plus fréquente chez les hommes de moins de 20 ans, mais elle peut survenir à tout âge.

Chez les enfants et les jeunes adultes, il importe de déterminer si l'œdème scrotal a une cause non infectieuse, comme un traumatisme. Une douleur légère dont l'intensité augmente au fil des semaines ou des mois peut être le signe d'une tumeur.

Epididymitis, unlike testicular torsion, presents with gradually increasing dull, unilateral scrotal pain. Involvement of the vasa may result in exquisite pain that affects the entire hemiscrotum as well as the spermatic cord. Discerning epididymitis from torsion may be difficult; however, a history of prior genitourinary tract procedures and sexual activity are more suggestive of epididymitis

„ Douleur testiculaire progressive habituellement unilatérale2 „ Sensibilité de l’épididyme ou du testicule à la palpation „ Tuméfaction palpable de l’épididyme „ Écoulement urétral „ Hydrocèle „ Érythème ou œdème du scrotum sur le côté affecté „ Fièvre (INESSS)

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

On physical examination, a tender and swollen epididymis and normal cremasteric reflex is observed.

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

(à modifier)

  • Obtenir un échantillon d'urine du premier jet ou effectuer un écouvillonnage urétral pour un test d'amplification des acides nucléiques (TAAN) pour détecter CT et GC, et un écouvillonnage urétral en vue d'une mise en culture pour détecter GC (si disponible).
  • Obtenir un échantillon d'urine mi-jet pour cultureNote de bas de page5.
  • L'échographie Doppler peut être utile pour différencier l'épididymite d'une torsion du testicule ou d'un abcès

Urinalysis, urine cultures, and urethral cultures must be performed to identify possible causative agents. A positive urinalysis and urine cultures, along with elevated white blood cell count, favor a diagnosis of epididymitis but do not exclude torsion. Color Doppler ultrasound or nuclear scintigraphy to assess blood flow to the scrotum and its contents will help to differentiate between the two entities. Doppler ultrasound would show increased blood flow, because this is an inflammatory condition [15].

Les examens paracliniques pertinents sont :

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].
Table 1. Signs and symptoms in the classic case
Symptoms Signs
Testicular torsion
  • Sudden onset
  • Severe pain
  • Associated nausea and vomiting
  • Associated trauma
  • Possible abdominal pain
  • Asymmetric, high-riding testis
  • Negative Prehn’s sign
  • Absent cremasteric reflex
Epididymitis
  • Insidious onset
  • Fevers and rigors
  • Lower urinary tract symptoms
  • Relevant sexual history
  • Indurated testis
  • Tender upper pole of testis
  • Positive Prehn’s sign
  • Intact cremasteric reflex
Torsion of the appendix testis
  • Gradual onset
  • Moderate to severe pain
  • Associated nausea and vomiting
  • Localised tenderness to anterior testis
  • ‘Blue dot’ sign

Le diagnostic différentiel de la classe de maladie est :

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

(à modifier)

La décision de traiter de façon empirique ou d'attendre les résultats des tests doit être fondée sur :

  • La gravité de l'état clinique;
  • La probabilité qu'une infection soit présente;
  • Les facteurs de risque d'ITSS décelés chez la personne;
  • La disposition de la personne à s'abstenir de toute activité sexuelle et à revenir pour obtenir les résultats des tests ou faire l'objet d'un suivi.
Traitement empirique pour l'épididymite aiguë lorsqu'une ITS (CT et/ou GC) est suspectée Traitement empirique pour l'épididymite aiguë lorsqu'une co-infection d'ITS (CT et/ou GC) et de bactéries entériques est suspectée
Ceftriaxone 250 mg par voie IM en dose unique [A-I]

plus

Doxycycline 100 mg PO BID pendant 10 à 14 jours [A-I]

Ceftriaxone 250 mg par voie IM en dose unique [A-I]

plus

Lévofloxacine 500 mg PO 1 fois par jour pendant 10 jours [B-III]

Remarque : Ce traitement est recommandé pour les individus qui ont des relations sexuelles anales insertives sans condoms.

Envisager une consultation d'urgence avec un collègue expérimenté et une hospitalisation lorsqu'une douleur intense ou une forte fièvre semblent indiquer un autre diagnostic ou une infection compliquée (torsion du testicule, infarctus testiculaire, abcès, fasciite nécrosante)Note de bas de page6.

Les traitements suggérés sont les suivants :

Suivi

Évaluer la réponse au traitement 48 heures après le début du traitement. En l'absence d'amélioration clinique, revoir le diagnostic et le traitement.

L'indication pour le test de contrôle dépend de l'agent pathogène confirmé par les analyses de laboratoire. Consulter le guide propre à l'étiologie.

Lorsqu'un traitement pour une ITS est indiqué, il convient de notifier, d'évaluer, de dépister et de traiter (le cas échéant) les partenaires sexuels. Consulter les guides propres à l'étiologie pour connaître les recommandations sur la déclaration obligatoire et la notification aux partenaires.

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette classe de maladie sont :

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

__NOVEDELETE__
  1. Agence de la santé publique du Canada, « Guide sur les Syndromes associés aux ITS: Épididymite », sur www.canada.ca, (consulté le 12 février 2022)
  2. Diana L. Heiman, Timothy S. Lishnak et Thomas H. Trojian, « Irritable Bowel Syndrome in Athletes and Exercise », Current Sports Medicine Reports, vol. 7, no 2,‎ , p. 100–103 (ISSN 1537-890X, DOI 10.1097/01.csmr.0000313396.10064.09, lire en ligne)
  3. Chirag G Gordhan et Hossein Sadeghi-Nejad, « Scrotal pain: Evaluation and management », Korean Journal of Urology, vol. 56, no 1,‎ , p. 3–11 (ISSN 2005-6737, PMID 25598931, Central PMCID 4294852, DOI 10.4111/kju.2015.56.1.3, lire en ligne)
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Est une complication de ...